Bien vu appoline, regarde ici la photo et puis le dernier paragraphe tout en bas
Hitler à son arrivée à NY le 15 juin 1945
CIA - Opération Vodka-Cola
La nuit dernière, je terminais la lecture d’un dossier bétonné
impliquant la CIA dans le 11/09 lorsque soudain le téléphone sonna.
Tiens ? Qui peut donc bien m’appeler à 2h du matin ? Je décroche.
Un homme à l’accent berlinois m’explique, la voix essouflée, qu’il
vient de déposer dans ma boîte un dossier que la CIA voulait détruire,
et me supplie de le publier au plus vite car il était en danger. Puis
il raccroche.
Ne pouvant résister à la curiosité, je descends et trouve dans ma boîte une farde épaisse intitulée « Vodka-Cola ».
Six heures plus tard, j’arrive à la dernière page de cette incroyable
histoire que j’avais lue d’une traite sans pouvoir lever les yeux.
Hallucinant ! J’en étais abasourdi ...
Car c’est toute l’histoire de la 2e guerre mondiale qu’il fallait relire sous l’éclairage de ces révélations. Pas moins.
Voici donc pour la 1ère fois publiée, l’histoire de l’opération Vodka-Cola.
Tout commença par un bel après-midi de juin 1930, à la terrasse de l’Amadeus Café à Vienne. Là où Bob Wilson, espion US spécialisé dans les affaires allemandes, rencontra A.H. afin de lui exposer l’opération Vodka-Cola.
Pour bien comprendre le sens de cette opération, qui deviendra la
plus grande de l’histoire des services secrets, restituons le contexte
de l’époque.
En 1930, le monde entier subit de plein fouet l’effet du krach boursier
d’octobre 1929. Les USA traînent des millions de chômeurs et on
distribue la soupe populaire dans les rues de NY. Or, pendant que le
Président Hoover écoute doctement ses conseillers libertariens qui lui
disent d’attendre que le marché reprenne de lui-même, d’autres gens
plus avisés décident eux, de faire bouger les choses. Ce sont les chefs
du complexe militaro-industriel US pour qui il faut absolument agir et
vite ! Car la jeune révolution bolchevique connait un succès
grandissant en Europe, grâce à l’habile propagande communiste qui
stigmatise le capitalisme.
C’est ainsi que de janvier à mars 1930, les chefs du consortium US se
réunirent quotidiennement pour mettre au point l’opération Vodka-Cola
dont les objectifs étaient : combattre le communisme et faire de
l’Europe un grand marché US.
Le plan élaboré qui résulta de leurs longues réunions se construisit progressivement.
D’abord pour combattre le communisme leur vint l’idée de déclencher une
guerre contre les Russes. Mais pourquoi la faire soi-même si l’on
pouvait y pousser un autre pays ?
C’est ainsi que naquit l’idée de relancer le complexe
militaro-industriel allemand. Car les Allemands avaient soif de
revanche après 14-18 et ils n’aimaient pas les Russes. Ce qui faisait
de l’Allemagne une candidate idéale à la guerre contre le communisme.
Restait à lui trouver un leader populiste capable d’enflammer les
foules. Puis à le soutenir sans réserve dans la relance des industries
militaires et civiles du Reich. Réussite qui en ferait alors l’homme
providentiel dans le coeur du peuple, lui permettant ainsi d’obtenir
les pleins pouvoirs et d’attaquer les Russes.
Cette partie du plan concernant le communisme fut adopté à l’unanimité par les patrons US.
Restait l’autre question : comment implanter le marché US en Europe ?
Là, c’est le bon accueil fait aux troupes US en 1918 qui initia
l’idée : il fallait que les GI’s débarquent à nouveau, mais cette fois
en grands sauveurs de l’Europe. Et pour ce faire, l’idéal serait que
l’Allemagne conquiert d’abord tout l’ouest, sauf l’Angleterre. Celle-ci
servant ensuite de tremplin pour le débarquement des GI’s qui
libèreraient alors le continent.
Mais encore fallait-il être sûr de pouvoir vaincre l’Allemagne. Et à quel prix ?
Et c’est là que leur vint l’idée la plus machiavélique du plan :
convaincre le leader allemand, dont ils auraient soutenu l’ascension au
pouvoir, de faire perdre l’Allemagne !
Etait-ce fou ? Peut-être pas. Si on lui proposait le maquillage de sa
mort, un changement de look et d’identité, puis une retraite dorée à la
tête d’une fortune colossale ( 10 milliards $ ) peut-être serait-il
tenté ?
C’est ainsi que les grands patrons US chargèrent l’espion Bob Wilson de sillonner l’Allemagne en quête de l’homme idéal. Jusqu’au jour où Wilson entendit parler de A.H., un fougeux orateur qui galvanisait les foules. Il le suivit alors quelques meetings puis, convaincu qu’il avait le bon profil, il lui fixa rendez-vous à la terrasse de l’Amadeus Café à Vienne.
Lorsque Wilson lui exposa le projet Vodka-Cola, A.H. fut d’abord
enthousiasmé d’apprendre que les USA l’aideraient à devenir, lui, le
grand Führer. Mais lorsqu’il aborda le thème de la défaite du Reich,
A.H. se leva, furieux ! Mais Wilson le retint et prononça les mots
magiques : 10 milliards INITIAL_CONTENTnbsp ; !
A.H. interloqué se rassit, réléchît un instant et exigea 50 milliards
INITIAL_CONTENTnbsp ; ! Bob Wilson en proposa alors 15, pas un cent de plus. 45 ! rétorqua
A.H. 20 ! répliqua Wilson... enfin, après 1 heure d’âpres négociations,
les 2 hommes s’accordèrent sur 30.150.225.515 $ et 10 cents.
La suite est dans les livres d’Histoire : A.H. devint chancelier du
3e Reich et relança le complexe militaro-industriel allemand. Puis il
déclencha la 2e guerre mondiale, comme convenu.
Mais ce que l’Histoire ignore, c’est la manière précise dont A.H. s’y
est pris pour faire perdre l’Allemagne sans en avoir l’air. Car c’est
là que le dossier devient proprement fascinant. Examinons cela de plus
près.
La Luftwaffe
L’aviation était l’arme maîtresse. A.H. le sachant, il en attribua le
commandement au plus stupide de ses maréchaux. Un héros de 1914, devenu
vaniteux, futile et qui ne vivait plus que pour le Schnäps et la
gaudriole : Göring. Ce simple choix, à lui seul, suffira à préserver
l’Angleterre, comme nous allons le voir.
Dunkerque
Le succès du blitzkrieg posa un problème inattendu à A.H. : l’avance
rapide de ses panzers risquait de provoquer bientôt la capture d’un
fort contingent de soldats anglais. Un contingent si grand qu’il
risquait de mettre d’emblée l’Angleterre à genoux. Aussi, il décida de
stopper les chars aux abords de Dunkerque, sous prétexte de laisser à
Göring l’honneur de donner le coup de grâce aux Anglais. On connaît la
suite : les Anglais parvinrent à sauver toutes leurs troupes en
quelques jours, en mobilisant tous les esquifs de Grande-Bretagne.
La bataille d’Angleterre
Satisfait du fiasco dunkerquois, A.H. donna aussi carte blanche à
Göring pour neutraliser l’aviation anglaise afin de préparer l’invasion
de l’île. Göring concentra alors obstinément ses attaques sur les
terrains d’aviation anglais, au lieu de cibler prioritairement les
stations radar. Ce qui permit aux Anglais de tirer le maximum de leur
chasse, pourtant très inférieure en nombre. Ensuite, frustré des
résultats, Göring fit bombarder Londres, ce qui n’entamait en rien le
potentiel militaire anglais. Par contre, les Anglais bombardèrent les
villes allemandes en guise de représailles. Et ainsi, en 3 petits mois,
la victoire de la RAF préserva définitivement l’Angleterre de
l’invasion.
La Kriegsmarine
Pour que Vodka-Cola se déroule comme prévu, il était essentiel de
laisser le contrôle des mers aux Anglais. Aussi, A.H. connaissant
l’importance de l’aviation, décida de ne construire aucun porte-avion.
Il fit au contraire construire de gros cuirassés qui furent tous
rapidement coulés par l’aviation ennemie. Quant aux sous-marins,
lorsque leur efficacité devint gênante pour les convois US, A.H. fit
parvenir aux Anglais la machine Enigma qui permettait de coder leurs
messages-radios. Les U-Boots qui l’utilisaient en toute confiance
furent alors décimés.
L’Afrika-Korps
Rommel était un brillant maréchal. Trop brillant. Aussi A.H. l’envoya
dans les déserts de l’Afrique du nord où il remporta au début de
fulgurants succès. Puis, la Méditerranée étant sous contrôle de la
Navy, il ne reçut plus de renfort et se retrouva finalement à 1 contre
4 face à Montgomery. Fin de la campagne d’Afrique.
Le front russe
L’opération Vodka-Cola prévoyant de faire reculer les communistes au
maximum, A.H. envoya ses meileures troupes au plus profond de la
Russie. Puis, malgré la rigueur des hivers, il leur ordonna de tenir
coûte que coûte. Ce qui retarda la contre-offensive russe, décima les
meilleures troupes allemandes, et dégageait le front ouest en prévision
du débarquement allié.
Le débarquement
On savait que les premières heures seraient essentielles pour le succès du d-day.
Aussi A.H., prévenu de l’opération, fit concentrer ses meilleures
troupes plus au nord, près du Pas-de-Calais. Puis pendant le
débarquement, il prétexta que ce n’était qu’une diversion et que le
gros des troupes viendrait par le Pas-de-Calais. Ce retard de réaction
fut fatal aux Allemands.
La bataille des ardennes
Cet audacieux plan de la dernière chance nécessitait que les allemands
puissent prendre intacts les stocks d’essence US pour poursuivre leur
progression. Prévenus par A.H., les GI’s firent sauter les réservoirs
au dernier moment. Les panzers tombèrent en panne sèche.
Les armes secrètes
Les recherches allemandes sur les avions à réaction, les fusées et
l’eau lourde ( bombe A ) avaient débuté bien avant 1940, et les
ingénieurs du Reich avaient de l’avance. Ainsi, si la guerre avait
débuté 2 ans plus tard, l’URSS et l’Angleterre auraient été écrasées et
les USA auraient dû négocier la paix sans pouvoir débarquer en Europe.
L’ayant compris, A.H. déclencha la guerre plus tôt. Ce qui fut un coup
de maître décisif. D’autant que plus tard, il put ecnore se servir du
prétexte des armes secrètes pour justifier sa non-capitulation et
permettre ainsi aux alliés d’arriver à Berlin.
L’attentat contre A.H.
A force d’accumuler des « erreurs » aux moments stratégiques, A.H. finît
par faire naître des soupçons dans l’esprit de ses meilleurs officiers,
dont Rommel. Il organisa alors un attentat-bidon contre lui-même, et en
fit porter le chapeau aux officiers rebelles.
Le suicide d’A.H.
Personne n’a jamais pu identifier les restes carbonisés de A.H. qui
s’était officiellement suicidé. Et pour cause : un passage secret du
bunker connu de A.H. seul, lui permit de rejoindre les GI’s déguisés en
allemands qui l’attendaient.
Depuis son exil de Berlin, toute trace officielle de A.H. a disparu. Le
dernier document que l’on possède est cette photo prise à son arrivée à
NY le 15 juin 1945
27/09 09:54 - L’enfoiré
Salut Tonton, Sardou chantait « Si les ricains n’étaient pas là.... ». C’est dire (...)
27/09 01:03 - Pierre JC Allard
@ Pierrix : J’ai lu votre propos et je n’ai pas de querelle avec votre approche. (...)
26/09 16:52 - appoline
@ Fouad, Comparez ce qui est comparable quand vous sortez ce genre de niaiseries. Décidément (...)
26/09 16:39 - appoline
@ Tonton, La boucle est bouclée. Il est de notoriété publique que Prescott Bush a alimenté le (...)
26/09 11:08 - décurion
Le Problème avec la guerre d’Algérie, c’est que la quasi totalité des archives sont (...)
26/09 10:56 - tonton
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