@ Zen et shawford
Pour beaucoup d’entre nous, la certitude viens n’ont pas de la qualité des arguments, mais de ce qu’on considère comme déraisonnable dans la qualité des arguments des autres.
et c’est a la liberté de conscience de chacun de mesurer l’espace qu’il considère du doute raisonnable, et de son au delà dans le « n’importe quoi. », délirant, parano, etc...
Mais avec un peu de recul encore on s’aperçoit que l’apparent n’importe quoi a des cohérences et des lignes de force, par exemple, que l’on croit que c’est E.T ou le peuple des hommes taupes les responsables, et pas ceux qui ont détourné les avions,
ce qu’il y a de certain c’est que l’on dédouane ceux qui sont désignés comme tels tout comme on exclue ceux qui désignent les responsables de la capacité a le faire. Et c’est souvent le seul but rechercher, et non pas la fiabilité ou l’usage du doute pour obtenir la vérité. C’est une forme d’hypocrisie multiple.
Quand on regarde l’évolution de la pensée du complot au fil du temps, on s’aperçoit par exemple que dans sa presse et littérature, c’est la seule, au travers de son allégorie sur Rotchilds, qui a dénoncer en premier les puissances des lobbys financiers, et notamment américain, a une époque ou c’était INTERDIT de publication sérieuse et officielle.
Quand Mitterrand qui n’est pas un complotiste parle de guerre économique avec les états unis dans leur politique de rachat d’entreprises Française détenant des brevets, il est moins dans l’allégorique, mais désigne sensiblement la même idée d’un pouvoir qui s’exerce.
Beaucoup de personnes ne veulent pas comprendre que quand on écris et surtout que l’on publie, on ne peut pas attaquer de front un certain nombre de choses, on doit, pour glisser un peu de vrai, mettre l’apparence du délire pour le rendre publiable, et accessible.
C’est la même chose que le masque de l’humour, qui bien fait, permet quand même de dénoncer les abus de pouvoirs, sans le brusquer pour autant, a condition d’être drôle. Ce sont aussi des façons de dire des choses qui ne se disent pas par peur de devoir affronté les pouvoirs réel ou fantasmé que l’on désigne et dénonce.
amicalement, barbouse.