@ Abdelkader 17
Si vous lisez les liens que je mets dans mes articles, vous voyez qu’il n’y a aucun dogmatisme nui ambiguïté dans ce que je propose, et encore moins un jugement quant à la valeur des diverses cultures. Juste un premier constat qu’une culture se développe mieux si elle a un territoire où elle n’est pas contrarié et un second constat, qui est que seul un référendum devrait déterminer ce qu’est AUJOURD’HUI la culture occidentale à laquelle souhaite s’identifier une majorité de la population du territoire « ’Occident ».
Cela fait, un « contrat social » auquel doit préciser les éléments de cette culture, et quiconque veut devenir citoyen doit adhérer à ce contrat social. Y adhérer est la condition suffisante mais nécessaire pour être partie prenant de cette culture... et être le bienvenu.
Quant aux « citoyens 3e, voire 4e génération », Ils ne sont pas concernés, puisque je dis bien « sous réserve des droits acquis ». Ce respect de la culture française (occidentale) me semble la moindre des choses. Pour le reste, affaire de décision personnelle. Je ne jure pas que je ne vivrai pas à Benares, à Taipei ou à Casablanca, auquel cas je n’aurais aucune objection à ce qu’on me fasse une obligation de respecter les cultures locales, puisque c’est ce que j’ai toujours fait et continuerai à faire scrupuleusement même si personne ne me l’impose.
Pierre JC Allard
est pas contrarié un constabt ni aucune a,biguit
c’est quoi s’intégrer à la culture Française ,se dépouiller de ses attributs comme moyen d’accès à la citoyenneté,l’abandon du statut personnel comme d’accès au mirage républicain,c’est exactement les mêmes formulations qui avaient cours pendant le règne coloniale de l’Algérie Française avec le fameux code de l’indigénat.
de descendants de colonisés est une aberration purement jacobine.
Il ne faut pas inverser les rôles,la gestion des banlieues populaires Françaises s’est faite sur le modèle de la guerre coloniale ainsi que l’encadrement de ses populations,doctrine d’état héritée des guerres d’Algérie et d’Indochine,théorisée par les militaires Français profondément anticommuniste qui voyaient dans les soulèvements indépendantistes la main de l’URSS, la guerre révolutionnaire,la guerre dans les populations, la guerre totale.c’est cette matrice qui continue à imprégner le fonctionnement des institutions Française en particulier ses modes de contrôle social.
A l’heure des dégâts de la mondialisation néolibérale et de l’épouvantail islamique la persistance de l’ennemi de l’intérieur est plus que d’actualité.