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Commentaire de Philou017

sur Re Open Le droit au Doute


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Philou017 Philou017 30 septembre 2009 11:07

Barbouze : je vais essayer de répondre à vos arguments, car ce sont des questions intéressantes :

« Est ce que cette technique est pré intégrable a la construction d’une tour, dans les piliers, des espaces creux par exemple, pensé pour servir d’accès aux points de rupture de la structure en cas d’explosion contrôlée, par exemple. »

Il y a une une rumeur, comme quoi il pouvait y avoir une prévision à la destruction des tours au moment de la destruction. Rien ne le confirme.
Il n’y a nul besoin d’une structure pré-préparée pour démolir un bâtiment. Certains bâtiments nécessitent parfois une grande préparation car leur structure est complexe et étendue sur tout le bâtiment, comme dans des « barres » d’immeuble en béton où les murs porteurs sont répartis sur toute la surface.

« Et si oui, il faut combien de temps pour mettre en place, dans un batiment prêt pensé et construit pour un jour s’effondrer de manière contrôler, le dispositif d’explosif adéquat. »

Les responsables de destruction contrôlée parlent de plusieurs semaines de préparation dans le cas d’immeubles d’importance. Mais je pense que la tâche est en fait plus facile avec une tour comme au WTC, car elle est facilement démolissable en minant la structure centrale sur toute la hauteur, tache assez simple avec un moyau où sont regroupées toutes les poutres porteuses.

« Si faut quelque heures seulement, alors il est largement possible d’imaginer que ce sont les autorités qui ont décider d’avoir recours a la mise en place et l’exécution de la démolition contrôlée par soucis de sécurisation de la zone urbaine tout entière si les tours s’écroulaient
de coté. »
J’évaluerai le temps minimum à trois ou quatre dizaines de journées de travail. Pas question d’autorités qui décideraient, mais d’une opération clandestine menée avec quelques complicités. Le WTC est un immeuble de bureaux, désert la nuit et le week-end. Il est alors relativement simple pour des « ouvriers » d’une entreprise ayant obtenu un contrat de maintenance sur le WTC (câblage par exemple) de poser des bombes dissimulées dans des boitiers techniques avec radio-commande

« S’il faut plus de temps, alors il est possible d’imaginer que le WTC et d’autres tours ont déjà des dispositifs d’écroulement contrôlés dans leur structure. »
Ce complot a été prévu longtemps à l’avance. Les comploteurs avaient tout leur temps.

« Il est possible aussi que sous un excès de zèle, pensant au pire sous la tourmente, la décision de détruire les tours est venue trop tôt, les décideurs ne sachant pas forcément sur le moment que les tours pouvaient aussi ne pas s’écrouler vue la qualité de leur construction et ce malgré le crash dans chacune d’entre elle. »

Il n’y a AUCUNE chance que les tours s’écroulent sous un crash et quelques incendies localisés. Même l’écroulement de la partie supérieure au-dessus du crash est quasi inenviseageable.


« Il n’est pas impossible d’imaginer qu’un protocole d’urgence existait et induisait de circonscrire l’immeuble atteint rapidement tout en pratiquant sa démolition immédiate pour éviter tout effet domino et une aggravation autant du nombres de morts que des dommages collatéraux issue de l’écroulement incontrôlé. »
Les tours n’ont montré aucun signe de faiblesse structurelle apres les crash. La démolition contrôlée était prévue en plus. Pour dissimuler probablement ce qu’il y avait dans l’avion et pour maximiser l’effet dramatique et épouvanter les spectateurs et surtout télé-spectateurs. Le 9/11 est une opération de manipulation médiatique d’ampleur mondiale.


« Mais toujours bien loin de l’intérêt et de la connaissance du citoyen lambda. »
La méconnaissance des principes de construction et de ceux d’une démolition contrôlée est un atout pour le complot.
Seules quelques sociétés spécialisées ont une connaissance de cela, et encore, pour des immeubles de taille moyenne. On n’a jamais détruit de gratte-ciels jusqu’à présent (à ma connaissance).

« si je vous lis bien, pour vous il y a hypothèse d’ une motivation dans l’appât du gain transclivage identitaire habituel, et décision dans ce cette hypothèse de détruire les tours sur la volonté de gain financier, décision prise ou pendant les heures entre les crash, ou avant, selon la dose « d’anticipation par l’explication du complot » de cette même décision ? »

L’appât du gain ne me parait selon toute évidence que secondaire dans ces évenements. Je pense qu’on a voulu profiter de ces attentats pour se faire du fric « en plus », par les délits d’initiés et le remboursement de tours obsolètes et couteuses à « désamienter ».

En fait, je ne pense pas qu’on leur ai demander leur avis pour détruire les tours. A partir du moment où il a attentat sur le sol d’un pays, être propriétaire ne rentre plus en ligne de compte quand aux protocoles a suivre et ne donne aucun accès a la décision des forces de l’état engagé sur le conflit.
Le propriétaire n’a certainement rien à voir avec la destruction. Il est complice, c’est tout. Il a peut-être facilité l’accès aux buildings pour les poseurs de bombes.

« mais si on sort du 11/9, on s’aperçoit que les plan d’un retour en irak par exemple, était déjà dans les cartons, et les décideurs n’avait pas besoin d’un attentat aussi marquant pour retourner en Irak, d’autres manœuvres auraient largement suffit, la coalition d’intérêt aurait été la même, et il n’avais pas besoin d’un complot de cet nature pour obtenir cet objectif. »

Le plan à l’œuvre n’incluait pas que l’Afghanistan et l’Irak mais aussi d’autres pays comme l’Iran et la Syrie, désignés comme états voyous.
Selon le PNAC, c’était toute une politique expansionniste et agressive qu’il convenait de mettre en place sur le long terme, profitant de la puissance de l’armée Américaine, de la disparition de la guerre froide et de la présence de l’URSS.
Vous oubliez que en 2001, les USA sont encore dans le traumatisme du Viet-Nam. Un simple attentat n’aurait pas suffi pour donner carte blanche aux dirigeants dans leur volonté expansionniste. Un attentat de grande ampleur, frappant et profondément impressionnant était l’occasion qu’il fallait pour permettre une politique extérieure agressive et guerrière sur le long terme.
On peut par ailleurs constater une kyrielle d’objctifs secondaires comme le développement du complexe militaro-industriel (et de ses bénéfices), la capacité de contrôler les régions du moyen-orient riches en pétrole, installer une main-mise américaine renforcée sur le monde avec la possibilité de déclarer nombres d’états « étas voyous » et de les menacer, voire de les agresser.
Seule la résistance d’une partie des généraux du pentagone a semble-t-il emp^ché que cette folie n’aille trop loin.


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