Commentaire de barbouse
sur Quand la précarité mène à une formation... à la vie précaire...
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Non, c’est un copain que j’ai rencontré en mai dernier, un pote d’un pote à la terrasse d’un café. Je suis une sorte « d’intello » et lui un « manuel », et c’est naturellement qu’on s’est entraidé, moi pour lui faire quelque courriers, et lui pour me filer un coup de patte pour bouger un gros meuble. Bref, un échange simple et solidaire. Mais bon, j’ai eut le temps de l’apprécier, de voir ses qualités, mais ce n’est pas moi, ma situation n’a rien a voir si ce n’est d’être dans la même situation sociale.
amicalement, barbouse.
Derniers commentaires
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05/10 10:18 - barbouse
@ lucien, nous sommes d’accord, et je pousserai bien la réflexion plus loin mais je ne (...)
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05/10 00:39 - Jean-paul
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05/10 00:15 - Lucien Denfer
Salut barbouse, Quand j’évoque le rejet de l’individualisme, je vise certains (...)
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04/10 23:52 - anwe
Bonjour les Vivants, Je n’y arrive pas. Les titre, les honneurs, les envies de (...)
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04/10 23:24 - Jean-paul
Les miserables de Victor Hugo .............................2009 les miserables de Barbouse (...)
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04/10 21:46 - ASINUS
yep , Barbouse a rencontré un visage , un visage que nous refusons desormais d identifier. yep (...)
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