J’ai oublié de préciser que les grands oubliés (une fois de plus) sont les artistes libres... !
Ce qui démontre, si il le fallait encore, que tout le système n’est là que pour les intermédiaires, et que ceux qui n’en ont pas, n’ont pas le droit d’exister, n’ont pas le droit de citer.
Payer la taxe sur les supports pour l’achat d’un CD vierge, afin d’y graver le dernier album d’un artiste libre, dont j’ai choisi volontairement de payer directement par le biais d’un don, et qu’en sus, je dois rémunérer Vivendi, Sony et Virgin, grâce à l’achat de mon CD vierge, taxé pour eux, je trouve cela déjà plus que honteux, car c’est du racket, mais si en plus de dois payer tout les mois une taxe sur mon abonnement internet pour ces derniers, alors que je n’aime pas leurs produits, que je ne les téléchargent pas.... cela porte le nom de pizzo en italie.
Si vous ne savez ce qu’est le Pizzo, voici une définition totalement exacte :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pizzo_(mafia)
« Le pizzo est une somme d’argent donnée à la Mafia en contrepartie d’une protection. »
Car c’est bien de cela que nous parlons avec cette taxe déguisée et dont les instigateurs refusent d’appeler par son réel nom de Licence Globale.
C’est payer un peu, afin d’être protégés contre une loi illégale, anticonstitutionnelle, qui enfreint bon nombre de lois Françaises, mais également Européennes, relatives à la charte des droits fondamentaux de l’UE.
Charte, dont tout les pays adhérents à la l’UE se doivent de se conformer, et ce, sans exception d’aucune sorte !