bonjour lucien,
Oui ; le conditionnement dont tu parles, il est clairement dedans et incompatible avec son humanité, ce qui l’installe dans la double souffrance d’être et déshumaniser et rejeter du sens de la vie tel qu’on est conditionné à l’avoir.
Pour ma part si je n’avais eut mes crises, ma nde, etc... je serai sans doute encore dedans, il m’a fallut presque mourir pour mesurer la réelle valeur et l’importance du temps de sa vie. Valeur dont il faut être libre d’usage et que personne ne jamais rembourse.
La solution par la solidarité et le rejet de l’individualisme par contre est un modèle qui malheureusement a sa limite et ne fonctionne pas non plus a partir d’une certaine échelle.
Il faut une osmose entre la volonté d’élite ( résultats, réussite, etc...) des uns et l’intérêt du groupe qui sous tend cette volonté. C’est cette osmose qui n’est plus là, et qui fait défaut autant a l’élite coupé de sa base que de la base qui se retrouve sans élite consciente de la réalité des intérêts de la base.
C’est dans cette absence d’osmose que se situe autant cette saloperie de décision que bien d’autres qui sont en décalage avec le réel, et la véritable lutte est là, a mon sens, recréer de l’osmose lucide entre la réalité du présent contemporain et les structures mise en place ou a mettre en place pour y contribuer au mieux. Et rien que ça veux dire faire mourir les idéologies vieillissante ( dont « le travail salarié » comme sens unique d’une vie à mener) ou inappropriée, ce qui engendre forcément les crispations les plus dangereuses.
amicalement, barbouse.