@ jl
- J’ai effectivement demandé publiquement l’exclusion de Léon au
motif que lui et sa bande se comportent comme des ayatollahs, en bande, et
empêchent tous débats sereins, sur deux sujets en particulier : la demande de
réouverture d’une enquête sur les attentats du 11/ et le scandale de la
vaccination H1N1.
on peut vous retourner le
compliment !
vous avez le don de dire tout et son contraire, au gré de
votre humeur et des arguments développés par ceux que vous considérez comme des
« ayatollahs ». pour étayer vos démonstrations, vous utilisez sans vergogne des
raccourcis scandaleux, en faisant un grand écart entre 2 propositions tout à
fait étrangères :
ex : "si on ne croit pas à la version du complot sur les
attentats du 11/9, c’est qu’on est pour la vaccination anti
h1n1" !!!
cool ! j’aimerais que mathématiquement, vous me
démontriez cette équation...
vous devriez réécrire la formule de la théorie
de la relativité, car visiblement vous appartenez à un univers parralèle où les
lois de la physique élémentaire de ce monde ne s’appliquent pas !
vous avez tendance à casser tous ceux qui
n’adhèrent pas à votre vision paranoïaque du monde.
le 11/9 comporte certes,de nombreuses zones
d’ombre, mais concernant les lois de la physique et de la chimie, celles-ci ont
parfaitement joué. : des avions ont percuté en explosant ( donc des
éléments enflammés ont été projetés sur les immeubles alentour, communicant
ainsi les incendies) , 2 tours qui ont brûlé et qui se sont écroulées en
faisant des dégâts autour d’elles, par projection de
matériaux.
concernant la vaccination
anti-h1n1, les réserves exprimées le sont à cause de la rapidité avec
laquelle il a été mis au point. on ne possède pas le reculs nécessaire pour en
apprécier totalement l’apport thérapeutique.
cette
épidémie a affolé beaucoup de gouvernements, qui
ont cru à un retour d’une pathologie proche du sras ou de la
grippe
espagnole (qui a quand même tué 40 millions de personnes
en 1918)
heureusemnt, cette grippe se révèle moins
virulente que prévu. c’est pourquoi les mesures de précautions prises semblent
disproportionnées.
mais, si les gouvernements n’avaient pas pris
de dispositions, on les aurait accusé de laxisme,
d’incomprétence...
et vous qui semblez posséder la science infuse,
qu’auriez vous préconisé ?
Grippe espagnole de 1918-
La grippe de 1918, aussi nommée à tort « grippe
espagnole », est due à une souche (H1N1) particulièrement virulente et
contagieuse de grippe qui s’est répandue en pandémie de 1918 à 1919. Cette
pandémie a fait de 20 à 40 millions de morts, 30 millions selon l’Institut
Pasteur, voire 100 millions selon certaines réévaluations récentes. Elle serait
la pandémie la plus mortelle de l’histoire dans un laps de temps aussi court,
devant les 34 millions de morts (estimation) de la Peste
noire.
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avec Charles Pilet, de l’Académie des sciences et Paul
Léonphonte
La grippe
espagnole tua plus de 400 000 personnes en France, peu avant les années 20 et
notamment pendant la Grande Guerre. Retour sur cette hécatombe tragique que les
virologues redoutent de nouveau avec le H5N1, appelé aussi « grippe aviaire ».
Paul Léophonte et Charles Pilet nous livrent leurs explications dans une
communication commune qui se déroulait lors de la journée du livre à l’Académie
nationale de médecine en septembre 2008.
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Grippe espagnole : une épidémie
meurtrière
Maladie très contagieuse, la grippe se manifeste par de la fièvre, de la
fatigue et des troubles respiratoires.
Hippocrate en décrivait déjà les symptômes dans l’Antiquité. Considérée
aujourd’hui comme une maladie bénigne, on oublie qu’elle est encore mortelle. En
France, on comptabilise au moins 1 500 décès chaque année.
Le nombre de morts
est bien plus important encore dans les pays en voie de développement.
Si l’épidémie de 1918 a été aussi meurtrière, c’est que le virus était d’une
variété inconnue. On pense que l’origine de l’épidémie devait se situer en Asie
Centrale et dans le Middle West américain, où la maladie s’est attaquée aux
porcs avant d’être transmise aux humains.
Cette variante de la grippe aurait
donc trouvé le moyen de passer de l’animal à l’homme par le biais d’une
mutation.
Le virus de la grippe espagnole était de plus associé au redoutable bacille
de Pfeiffer, cause des pneumonies et des pleurésies qui ont accompagné cette
épidémie.(...)
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Diaporama sur le SARS : version 7 : 160503, format
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