En fait toutes ces affaires sont immorales et abjectes. Qu’une personne ait une tendance à avoir une perversion, cela existe et beaucoup plus qu’on ne pourrait le supposer. Mais le problème c’est d’écrire sa dépravation, car quand on fait cela,on en fait de publicité et cela incitera des gens à essayer. Le livre de F.Mitterand en est un exemple, mais le livre de Cohn Bendit est aussi remarquable à ce sujet, puisque ce dernier avoue aussi un sérieux problème d’éthique. Mais je pose la question, pourquoi écrire ses perversions et plus grave de les éditer ? Pour rendre encore plus glauque certaines personnes fragiles ? Très certainement. C’est vraiment condamnable et il n’y a pas d’excuses. Que la majorité de la classe politique minimise tout cela montre à quel point nos gouvernants ont oubliés le sens du mot politique, qui veut dire le bien du peuple. De plus, nos chers politiciens se veulent être des donneurs de leçons. Au secours ! C’est grotesque. Au début du siècle dernier, les politiciens avaient un peu plus le sens de l’honneur, aujourd’hui...