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Commentaire de Maximus

sur Frédéric Mitterrand, ministre au bon coeur


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Maximus 10 octobre 2009 11:43

Ca donne vraiment la nausée. Cette histoire ignoble de plus montre s’il en était besoin qui est notre ministre de la culture. Sur certains aspects, il fait encore plus dans le glauque que Jack Lang.

On aurait pu mettre chacune de ces quatre histoires isolément sur le compte d’une faute pardonnable et qui peut se racheter, mais "mon copain Rachid", le soutien à un violeur, celui à Polanski, et son tourisme sexuel, que dire d’autres sinon que ce type est un dépravé dépourvu de toute conscience morale ?

 

Et, pour finir, combien d’autres histoires dégueulasses de ce genre peut-on encore exhumer ? J’encourage les bonnes âmes d’ici et d’ailleurs à dénicher ce genre d’histoire pour mettre encore plus en lumière la personnalité de ce détraqué.

Les seules personnes que Mitterrand déteste sont ceux que l’on peut appeler les « gens ordinaires », un petit lien (sachons utiliser ce moyen avec parcimonie) pour la bonne bouche. Il est plus attentionné pour la raclure. 

Forcément, toute cette gauche caviar a toujours été du côté de la racaille, on se souvient tous de l’attitude de Jospin au gouvernement sur l’insécurité, des quotas ethniques déguisés à Science Po Paris, de tous ces films et téléfilms bien pensants comme « Indigènes ». Ils reconnaissent dans les bas fonds une image fantasmée d’eux-mêmes, affranchis de toute référence morale vue comme dépassée. Ce point commun, c’est l’idée que ces deux bords opposés de la société sont l’avant-garde d’un monde où la consommation, le désir-roi, l’hédonisme et le caprice seraient rois, à l’opposé d’un peuple conservateur et fermé à la modernité en matière morale. Evidemment, c’est du délire, car la société de consommation est tout sauf une société de jouissance réelle et de liberté de l’individu, mais on peut remettre ce vaste sujet à plus tard.

Pourtant, ce parasite incapable de faire autre chose que des émissions télé minables au vocabulaire pompeux et prétentieux devrait se regarder plus souvent dans une glace, au cas où il penserait qu’il est un intellectuel. Un homme de culture ? Non, un parasite mondain inutile, voilà ce qu’il est.

En d’autres temps, au aurait su s’occuper efficacement de ce genre d’individu en le mettant hors d’état de nuire au genre humain, au lieu de faire des lettres scélérates en leur faveur. J’assume mes sympathies pour certains aspects du communisme, en URSS, on savait s’occuper des violeurs et parasites de la société. La transposition des chefs d’accusation de « parasitisme », « hooliganisme », ou « crime contre la propriété socialiste » servirait bien mieux à régler le problème de ces violeurs et petits délinquants en tout genre que ce tropisme mondain pour la fange.

Les sociétés anciennes ou plus traditionnelles que nous savent ou savaient mieux régler des problèmes comme celui de Frédéric Mitterand, en réprimant avec la plus grande sévérité ce genre d’agissements.

 


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