Ca donne vraiment la nausée. Cette histoire ignoble de
plus montre s’il en était besoin qui est notre ministre de la culture. Sur
certains aspects, il fait encore plus dans le glauque que Jack Lang.
On aurait pu mettre chacune de ces quatre histoires isolément sur le compte
d’une faute pardonnable et qui peut se racheter, mais "mon copain
Rachid", le soutien à un violeur, celui à Polanski, et son tourisme
sexuel, que dire d’autres sinon que ce type est un dépravé dépourvu de toute
conscience morale ?
Et, pour finir, combien d’autres histoires dégueulasses de ce genre peut-on
encore exhumer ? J’encourage les bonnes âmes d’ici et d’ailleurs à dénicher
ce genre d’histoire pour mettre encore plus en lumière la personnalité de ce
détraqué.
Les seules personnes que Mitterrand déteste sont ceux que l’on peut appeler
les « gens ordinaires », un petit lien (sachons utiliser ce moyen avec
parcimonie) pour la bonne bouche.
Il est plus attentionné pour la raclure.
Forcément, toute cette gauche caviar a toujours été du côté de la
racaille, on se souvient tous de l’attitude de Jospin au gouvernement sur l’insécurité,
des quotas ethniques déguisés à Science Po Paris, de tous ces films et
téléfilms bien pensants comme « Indigènes ». Ils reconnaissent dans les bas fonds une
image fantasmée d’eux-mêmes, affranchis de toute référence morale vue comme
dépassée. Ce point commun, c’est l’idée que ces deux bords opposés de la
société sont l’avant-garde d’un monde où la consommation, le désir-roi, l’hédonisme
et le caprice seraient rois, à l’opposé d’un peuple conservateur et fermé à la
modernité en matière morale. Evidemment, c’est du délire, car la société de
consommation est tout sauf une société de jouissance réelle et de liberté de l’individu,
mais on peut remettre ce vaste sujet à plus tard.
Pourtant, ce parasite incapable de faire autre chose que des émissions télé
minables au vocabulaire pompeux et prétentieux devrait se regarder plus souvent
dans une glace, au cas où il penserait qu’il est un intellectuel. Un homme de
culture ? Non, un parasite mondain inutile, voilà ce qu’il est.
En d’autres temps, au aurait su s’occuper efficacement de ce genre
d’individu en le mettant hors d’état de nuire au genre humain, au lieu de faire
des lettres scélérates en leur faveur. J’assume mes sympathies pour certains
aspects du communisme, en URSS, on savait s’occuper des violeurs et parasites
de la société. La transposition des chefs d’accusation de « parasitisme »,
« hooliganisme », ou « crime contre la propriété socialiste »
servirait bien mieux à régler le problème de ces violeurs et petits délinquants
en tout genre que ce tropisme mondain pour la fange.
Les sociétés anciennes ou plus traditionnelles que nous savent ou savaient
mieux régler des problèmes comme celui de Frédéric Mitterand, en réprimant avec
la plus grande sévérité ce genre d’agissements.