Pardon Rapaces si j’interviens avant vous.
Léon écrit : « J’ai appris qu’il était parfaitement inutile de répondre et d’argumenter rationnellement avec les truffiers ». Amalgame et injures,
Léon encore : « Mais j’aime aussi me faire plaisir ». Foin donc des jérémiades alors ! D’une part, je note cela comme un bottage en touche de ma question qui dérange. Mais aussi un changement de tactique. Bon, seuls dit-on, les imbéciles ne changent pas d’avis. Dont acte.
Sur le fond, Léon écrit, je cite :
« La version dite « officielle » c’est à dire celle qui attribue à l’impact des avions et aux incendies qui s’en sont suivis comme cause unique de la destruction des tours est tellement prise au sérieux par les bureaux d’étude du monde entier qu’ils planchent tous (et ça, c’est facilement vérifiable) sur des systèmes de construction pour des bâtiments qui prendraient en compte le risque dévoilé par les attentats du 11/09 qui était ignoré ou sous-évalué jusque-là. Cela s’appelle le travail sur la « robustesse des structures ». Autrement dit ces attentats ont appris quelque chose sur la solidité (plus exactement la fragilité) des constructions à ossature acier qui était jusque-là ignoré. »
D’une part, je note que les mêmes qui soutenaient furieusement que les tours ne s’étaient pas écroulées à la quasi vitesse de la chute libre viennent annoncer triomphalement que, si elles se sont écroulées si vite, c’est parce qu’elles étaient mal construites.
Les progrès réalisés depuis la construction de ces tours ont obligé bien évidemment leurs concepteurs, les compagnies d’assurances et les pouvoirs publics à faire une introspection vis-à-vis de toutes les anciennes constructions aussi énormes que le WTC.
Qui peut croire aujourd’hui que les propriétaires de la tour, ainsi que les commanditaires si ce ne sont pas les mêmes, ignoraient ce défaut et le danger qu’elles constituaient ?
Si bien que, le fait que les tours étaient mal construites, loin d’invalider la théorie du complot, la renforce ; en effet, les propriétaires sachant que ces tours représentaient un extrême danger, et qu’il fallait tôt ou tard, voire, au plus vite les démolir, s’ils n’ont pas commandité ces attentats, auraient fort bien pu leur donner leur feu vert, et cela change la donne en ce qui concerne notamment les dédommagements des victimes, lesquelles attendent toujours, 8 ans après.