@ French car
Je suis ravi de vous mettre l’eau à la bouche !
Vous voulez en savoir plus, parce que vous soupçonnez bien que si je me permets de parler aussi ouvertement d’administration-voyou à l’Éducation nationale, je ne m’avance pas sans biscuit, et que nombre d’anciens collègues n’en pensent pas moins sans oser le dire.
Apparemment, le fait que je vous dise que le tribunal administratif de Nîmes a annulé, le 7 décembre 2006 un blâme comme illégal pour inexistence matérielle de motif et violation de procédure, ne vous suffit pas ! L’autorité de la chose jugée n’est pas votre fort ! Vous voudriez sans doute refaire le procès pour voir si le tribunal n’a pas été complaisant et sauver la mise à l’administration-voyou ! Il est vrai que c’est l’image de la Justice qu’on se fait aujourd’hui, la complaisance envers les plaignants qui attaquent une autorité !
Eh bien, un bon conseil, lisez donc les livres que j’ai inscrits en note :
- « Les infortunes du savoir sous la cravache du pouvoir », cet essai de 315 pages est le fruit d’une enquête de 20 ans sur l’ensemble du territoire français ;
- « Un blâme académique flatteur » est une sorte de monographie de 243 pages illustrant dans le détail, par un cas particulier, les méthodes de cette administration-voyou de l’Éducation nationale.
Mais rassurez-vous, comme je l’ai expliqué dans un article récent, l’Éducation nationale n’a pas le mopole de la voyoucratie : « Ces conditions de travail qui mènent au suicide : mais à qui la faute ? » Voyez comment se comporte la direction de France Télécom et quelques autres !
L’impunité et l’irresponsabilité qu’elle favorise ont toujours ouvert sur la voyoucratie ! Paul Villach