@ fred le borgne,
merci d’ouvrir les réactions. votre opinion sur l’argent du travail et l’argent du travail des autres est la plus commune, seulement, si vous changez un tout petit peu l’angle critique, vous vous rendrez compte que l’argent appartient a l’état, ou système, et lui seul, et que le citoyen, travailleur ou non, en est l’usager plus ou moins fourni dans la temporalité de sa vie.
la valeur du travail qui se mesure en salaire et qui indique finalement la valeur d’un citoyen est une dérive pédagogique qui viens se greffer sur le plaisir d’être utile, de s’améliorer dans ce que l’on fait, et quantité de dimension de l’humain qui aime œuvrer et se valoriser par ses actes.
Seulement, dans la précarité, il faut comprendre que c’est la quête d’une issue qui prime sur la quête du plaisir de travailler.
L’orgueil de s’acheter deux boites de raviolis de plus et un vrai paquet de cigarette de temps en temps est très vite atténué par l’impression de finalement rester dans la même galère, sauf qu’on a prit les rames...
foufouille, j’espérais que tu réagisses si tu passais par là en me donnant ton avis sur le fond.
amicalement, barbouse.