On pourrait s’amuser à recenser les préceptes du droit islamique, tel qu’il découle de la « révélation » contenue dans le Coran, qui sont parfaitement contraire à la loi française.
Je ne relèverais ici que trois exemple d’incompatibilité entre les deux droits, mais on pourrait sans doute en relever des centaines.
On sait que le statut de la femme est inférieur au statut de l’homme en Islam, ce qui est parfaitement contraire à notre Loi Fondamentale, qui est la Constitution, qui proscrit la discrimination sexuelle.
Mais ceci à des conséquences pratiques dans le domaine de la justice :
1) En Islam, il est licite de recouvrir les femmes d’une bâche, alors que le port d’accoutrements discriminatoires est interdit par la loi française, même à ceux et à celles qui prétendent le faire de leur plein gré.
2) En Islam, les femmes n’héritent pas de la même part que leurs frères lors du règlement de la succession de leurs parents. Ce qui est contraire au droit français, qui prévoit l’égalité des parts entre frères et soeurs.
3) En Islam, le témoignage d’une femme ne vaut pas le témoignage d’un homme. Ce qui est contraire au droit français qui accorde autant de valeur au témoignage d’une femme et d’un homme.
Je n’ai pris ici que des exemples découlant de l’inégalité entre les femmes et les hommes, mais on pourrait multiplier les exemple dans d’autres domaines où l’Islam pose des pétitions de principes qui sont contraires à nos libertés telles quelles sont posées par notre Constitution et notamment dans son préambule qui est la Déclaration des Droits de l’Homme.