hé hé hé, la rhétorique de l’excuse obligatoire pour celui qui cherche a s’en sortir et ne le fait pas a quelque chose de doublement pathétique,
la première c’est que je ne venais pas quémander une formation mais utiliser mon droit a en avoir une, droit qui s’est réduit a une impasse en suivant le protocole légal que l’on m’a imposé dans cette démarche, C’est moi le citoyen floué dans mes droits a ce moment là, sans possibilité de recours, et pas l’inverse, et ce n’est pas à moi d’excuser par une logique de culpabilité qui serai forcément mienne un organisme mal géré dans sa logistique et qui lui ne prend pas sur lui l’once d’une réflexion sur le comment améliorer sa prestation.
la deuxième, c’est que même si en ce moment je ne suis pas spécialement tendre avec les organismes de formations, surtout depuis un peu avant mon dernier article, il ne s’agit pas pour moi d’en réfuter l’efficacité quand ça marche, mais d’en montrer les dysfonctionnements existants,
pas d’en tirer des conclusions sur ma vie ou la vie de la précarité en général. Pour vous ça a été porteur, tant mieux, pour moi je suis allez voir ailleurs si d’autres portes étaient plus rapidement efficace, ça c’est de la subjectivité individuelle.
Mais force est de constaté que la précarité est une situation fragilisante, et au lieu d’y constater des dysfonctionnements, il serait plus judicieux d’y trouver un plus grand soucis d’éthique de clarté et d’efficacité adaptée.
amicalement, barbouse