@ Léon :
Vous n’avez rien contre une réouverture de l’enquête... mais la ligne suivante, vous expliquez pourquoi cette réouverture ne doit pas avoir lieu (elle est inutile, toute critique est bidon, la thèse officielle est parfaite, indépendante et donc, irréfutable).
Léon, la dialectique et la confrontation des idées ne sont pas des cas d’école. C’est la condition qui a permis à notre civilisation de devenir ce qu’elle est aujourd’hui.
La résolution de cette question est facile : réouverture de l’enquête, la thèse officielle démontre une fois pour toute sa véracité (ou non...), fermeture de l’enquête, publication des conclusions. Fin.
Ce que je constate, c’est que malgré vos dénégations, c’est bien cela que vous contestez : qu’une nouvelle enquête soit ouverte. C’est aussi la position des autorités américaines.
A ce propos, je n’inverse rien quand j’emploie l’image de l’Eglise de la Renaissance.
A cette époque comme aujourd’hui, les « Léon » étaient du côté de l’autorité légitime et opposés, de façon aussi hargneuse que violente à toute contradiction. La différence, c’est qu’à cette époque, je ne doute pas qu’ils auraient crié, en parlant des « soucoupistes » : « quon les brûle ! »
Au moins en avons-nous fini avec ce temps-là.