@ auteur
vous avez raison les homosexuels ne sont pas tous des PD
sauf que pour Mitterand au regard de ses écrits il est l’un et l’autre :
Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.[...] Dans chaque club, les garçons se tiennent sur la scène très éclairée par petits groupes de quatre ou six ; ils portent la tenue distincte de l’établissement et de sa spécialité, minimale et sexy[..]Le numéro est accroché à l’aine, en évidence. La plupart d’entre eux sont jeunes, beaux, apparemment épargnés par la dévastation qu’on pourrait attendre de leur activité. J’apprendrai plus tard qu’ils ne viennent pas tous les soirs, sont souvent étudiants,[..] quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages et les enchaîne, les maladies [..] Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément [..] il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de refréner ou d’occulter. [..] il a plus de mal à retirer son pantalon et son caleçon américain, il évite mon regard, un fond de pudeur, une ombre d’inquiétude peut-être devant mon comportement qui doit lui paraître exagéré, insolite. Ces gosses ont largement l’habitude des hommes bien qu’ils ne les aiment pas vraiment [..] il y revient autant que je le souhaite, lèvres fraîches, langue en profondeur, salive salée de jeune mâle sans odeur de tabac ni d’alcool. Sa peau est d’une douceur exquise, son corps souple se plie quand je l’effleure et quand je le serre.
vous écrivez que le mot de « garçon » doit être pris au sens de sexe masculin.
Mais « Gosse » ? Là, il n’y a aucune ambiguité.
Faites attentions, vous même, à la Force des mots !