Il est dangereux de s’attaquer aux effets des problèmes en voulant les interdire par la loi sans s’attaquer aux causes. Dans ce ce processus l’attention dérive sur des questions marginales et on oublie l’essentiel.

Quel est le vrai problème ? Le vrai problème est une immigration de peuplement en Suisse qui est une invasion mettant en péril l’existence même de la Suisse au sens où on l’entend (peuples et civilisation européenne).

Quelles sont les conséquences du problème ? Les conséquences sont bien évidemment que les nouveaux peuples qui s’installent, lorsqu’ils ont atteint un certain volume leur permettant de s’organiser entre eux sans passer par les autochtones, en viennent à continuer leurs us et coutume ce qui est naturel. Avez-vous déjà vu un suisse à l’étranger sans son Victorinox ? Pourquoi voudriez-vous que les autres n’en fassent pas autant avec leurs propres symboles ?

A vouloir faire semblant que si on ne les voit pas cela veut dire qu’ils sont devenus de vrais Suisses on devra aligner une série de lois aussi inutiles les unes que les autres : loi contre le port des turban loi contre le port de la burka (la France s’est prise une fois de plus les pieds dans le tapis) loi contre les carrés musulmans, interdiction de brûler les défunts au bord du Lac Léman puis de les y jeter, lois contre l’abattage halal des animaux et on n’en finit pas. Ce combat est perdu d’avance car le nombre de suisses pour voter contre diminue chaque jour face au nombre de nouveaux vrais suisses qui votent pour.
Je rappelle qu’il y a en suisse un projet de légaliser les mutilations sexuelles. C’est déjà fait pour les hommes mais les femmes y échappent encore.

On l’a bien compris, le seul problème vient d’une immigration sans limite en Suisse. La seule façon légale de le résoudre, toute simple et que tout le monde comprend, est de limiter les droits de séjours, l’octroi de la citoyenneté Suisse (aujourd’hui n’importe qui peut l’acheter), supprimer le droit d’asile, expulser tout le monde en situation irrégulière, c’est à dire garder son pays comme on garde sa maison.

C’est un choix de société. Si les suisses veulent être minotaires en suisse il faut qu’ils acceptent de vivre come en Algérie et au Beng La Desh. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre.