Toujours par le moyen du bon sens je suis assuré que les emplois qui résultent du système économique actuel (qui disparaissent progressivement), de même que ceux bien plus nombreux, qui disparaîtront dans le passage à un autre système économiquelequel vivrait de l’économie et non de la surconsommation, ne seront pas remplacés par ceux qui seraient créés par cette nouvelle économie ; la plupart de ces emplois ne pouvant d’ailleurs pas engendrer leur survie (pas de « financement » selon la terminologie actuelle).
Il y a beaucoup d’autres critiques à faire, mais revenons à l’essentiel :
Le préalable absolu, incontournable, c’est la suppression du système économique actuel (Observons qu’aucune force n’existe qui soit susceptible de réaliser cette révolution !).
Mais des actions sont possibles en se retranchant du système et en réduisant du même coup le nombre de ceux qui constituent une poudrière actuellement non désamorçable et qui sont promus à de grandes souffrances.
Réduire son impact écologique ou même l’annuler, réduire le coût de SA vie, être plus autonome etc... c’est possible pour un certain nombre de personnes en vivant avec et pour la nature. Il y a de la terre à cultiver, de génération en générations, indéfiniment...là est la solution, mais pour quelques-uns seulement, et encore sous réserve des pillards (inévitables du fait que les paroles tiendront lieu d’action pendant longtemps encore, jusqu’au big bang HELAS ! HELAS !).