Merci pour votre « franchise », de dire selon vous que je n’ai pas été assez perspicace, je ne pourrai que m’améliorer lorsque vous m’aurez transmis vos lignes de codes pour être un fin analyste de la politique...(je plaisante) Rassurez vous, mon ambition n’est pas d’être politologue. ;) J’ajoute que ce n’est qu’un article d’opinion, c’est juste ma réflexion, mon point de vue sur le sujet. Je serais de plus prétentieux de croire que mes articles plaisent à tout le monde ;)
Bref, en fait, il me semblait important d’énumérer les faits divers de l’actualité plus ou moins fraîche, qui mènent à ficeler une loi, notamment grâce au processus de manipulation de l’opinion publique, flagrant, disons plutôt grâce au traitement finement choisi de l’information. Mais peut être est-ce inutile de le rappeler, puisque les gens sont libres de penser, et votent librement en fonction de leurs choix réels, et non en fonction des médias...
Au fait, ai-je soupçonné que Mitterrand ait été nommé uniquement pour ce que vous dites ? L’image que véhicule la pratique du tourisme sexuel ? Non. J’ai juste affirmé que nommer un Mitterrand au gouvernement dans un régime autoritaire, est une fine opération de sabotage démocratique : tuer l’idéal symbolique pseudo socialiste qu’incarne la famille Mitterrand depuis les années 1960, belle politique d’ouverture...
Je ne voulais pas parler dans cet article de la folie sarkozyste de tout contrôler dans les institutions publiques, et de tout recentraliser à la napoléonienne, mais puisque vous pointez le doigt dessus, je suis bien d’accord avec vous : ces gens de l’UMP pensent que la culture n’est pas utile, rentable...que seuls l’entreprise et le commerce doivent prédominer. Evidemment, pour un homme d’affaire aux commande de l’Etat, il est plus important de faire apprendre aux enfants des valeurs marchandes plutôt que de leur rentrer dans le crâne de la philo, la litterature, la musique ou autres arts culturels non rentables...Mais ce n’était pas le sujet de cet article, à moins d’en écrire des pages, et de se livrer à des « analyses superficielles », comme vous dites...