@Alrignt
Intéressant votre qualification de « potin de secrétaire » des exemples concrets donnés par Sophie et moi-même dans mes commentaires.
Je rappelle que Sophie était ingénieur R&D à FT ....
Quel mépris dans cette locution pour la position de secrétaire et le concret, mépris tout à fait typique des mâles et des gens sortis des grandes écoles.
Vous confirmez ainsi mes écrits sur ces gens là même si vous faites le modeste en disant que votre grande école n’est pas des plus cotées...
Et vous ne dites rien sur mon commentaire du 19 oct à 17h39 où je remets l’histoire de ce questionnaire dont les médias parlent comme si c’était la panacée et que la direction de FT avait besoin de demander à un prestataire extérieur ce que pensaient ses employés : elle a des outils institutionnels, des personnes habilitées à l’informer comme le médecin du travail et, de toutes façons, c’est son rôle de le savoir.
Faut croire que, comme vous, Didier Lombard pensent que les remontées de la base sont des « potins de secrétaires » et qu’il faut un consultant pour les transformer en information valable ! c’est à dire arguments propres à justifier son maintien en place et les changements qu’il n’apportera pas ....
Les journalistes qui nous gavent tous les jours sur le questionnaire de Lombard ne font pas leur boulot, ils répètent la communication de FT, celle ci n’étant pas de l’information mais de la propagande institutionnelle.
Pourquoi les journalistes ne resituent pas le questionnaire dans son contexte à savoir que les employés de FT sont institutionnellement sondés, observés et entendus à travers le médecin du travail, l’assistante sociale, la DRH (qui observe en particulier les congés maladie et leur durée), les élus du personnel et les représentants syndicaux, les CHSCT et l’entretien annuel d’évaluation ?