L’affaire dont on parle ici est toute aussi importante que l’EPAD.
 Mlle Bové occupe un emploi à la CUB de Bordeaux : après sept ans au Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD), elle est collaboratrice technique et administrative au groupe PS de la communauté urbaine de Bordeaux.(bio officielle), sa formation : elle a une maîtrise d’histoire (bac +4). A vous de juger ?
Elle est poussée par Noël Mamère, pas par son père semble-t-il. Sera-t-elle élue, seul l’avenir nous le dira, mais sa place de tête liste aux régionales si l’on tient compte du succès de la liste Europe Ecologie aux dernières élections européennes peut donner quelques pistes, d’ailleurs papa était sur cette liste, il est député européen à l’heure actuelle.

Donc Mamère joue un jeu subtil dans cette affaire, au mieux la liste menée par Marie Bové gagne en Aquitaine et la voilà Présidente de Région (pas mal comme poste) au pire elle finit en queue de peleton et Mlle Bové gagne un joli poste de conseiller régional, il y a pire comme situation.
Un intervenant a fait référence aux concours républicain plus haut. Autre exemple de favoritisme avéré(à gauche cette fois), Benoît Hamon, le porte parole du PS, s’était présenté aux européennes en position éligible, manque de bol, le parti ayant ramassé la veste que l’on sait le voilà sans boulot à part son rôle de porte parole, mince ça ne doit pas rapporter assez, qu’à cela ne tienne, il vient d’être nommé (sept 2009) Professeur Associé à l’université de Paris VIII, pour tout bagage universitaire il a une licence d’histoire. Aux esprits chagrins je fais la remarque que pour être prof et d’universté de surcroît il faut avoir passé le concours du CAPES ou/et l’Agrégation, concours très difficiles pour lesquels les étudiants consacrent plusieurs années de dur labeur sans être sûrs du résultat vu le nombre de postes en diminution chaque année, et il y a aussi nombre de thésards qui aurait pu l’assumer ce poste.
La classe politique dans son entier ne donne pas une belle image au pays,c’est à mourir de rire ou plutôt à pleurer.