Les salaires des femmes restent inférieurs à travail égal dis-tu ? ça reste à démontrer. De quelles femmes parle t-on ? Certainement pas de celles qui travaillent dans la fonction public et les administrations.
Les grilles et barêmes salariaux étant les mêmes pour tout le monde. Et elles sont bougrement nombreuses dans ce domaine. Très majoritaires.
De plus les chiffres avancés sont des plus farfelus. Pêle-mêle, on parle d’une différence de salaire (et ça ne peut concerner que le secteur privé, nous sommes d’accord), de : (accrochons-nous bien ! relevés dans la presse, télés, radios) : 17%, 25%, 11%, 27%, 23%, et je garde le meilleur pour la fin : près de 30%. Excusez du peu !
Ça manque singulièrement d’approche scientifique, non ? Je me questionne sur la méthodologie employée. A la vue de ces chiffres loufoques, on ne peut que penser qu’ils ne reposent sur rien de bien tangible. C’est du grand n’importe quoi.
Quant à la représentation inférieure des femmes au parlement, et plus largement en politique, il n’est le plus souvent qu’à attribuer au moindre intérêt qu’elles ont pour la chose politique.
Pour les listes « chabada », il a fallu aller les chercher, souvent parmi les proches, sœurs, filles, épouses, copines…, leur dérouler le tapis rouge, leur dire qu’elles étaient indispensables (ça marche beaucoup à la flatterie et elles aiment ça) pour qu’elles grossissent les rangs.
Il fallait répondre à la loi obtenu par les féministes et votée sans sourcillé. Ils ont été jusqu’à modifier la constitution pour ça. Ce n’est pas rien. Créant ainsi un clivage des sexes sans précédent et amenant par propagation, la parité sur tout les terrains, devenue un reflexe comptable : Le 50/50. Du pur ratio, du chiffre, du quotas, de
la discrimination…
La parité est un dogme, une doctrine. Elle s’est substitué à l’égalité qui elle, est sur un tout autre terrrain, celui du respect de l’individu. La parité est donc pour moi, purement anti-démocratique puisqu’elle repose sur la division, « les communautés ». On ne répare pas
de prétendues injustices par de prétendues discrimination-positives. Le mot positif me fait hurler.
Ce qui m’amène au sujet de cet article.
Tout aussi anti-démocratique est la position infâme de cette fâmme.
Sous couvert d’une plus grande représentation des fâmmes (la parité), elle exclut les hommes. Qui dans sa bouche n’en sont plus puisqu’ils deviennent des mâles et ne sont même plus sujets mais des choses.
C’est d’un mépris absolument consternant que rien ne peut justifier.
Certainement pas la plus grande représentation de son sexe, qui, ne l’oublions pas, a créé « les chiennes de garde » pour dénoncer les abus langagers des hommes et qui se permet aujourd’hui de commettre ces même abus pourtant dénoncés.
La morale ne peut fonctionner à sens unique. Sinon c’est du foutage de gueule.
Elle tombe, cette Anne machin, sous le coup de loi par sa politique de recrutement. Recrutement qui doit être fait sans discrimination de sexe, de race…
Elle devrait être démise de ses fonctions. Purement et simplement.
Si les nanas sont si promptes à donner du ’macho’ à tire larigot, nous ferions pas mal, nous autres, de donner dans ’la vaginocrate’.