Bonjour Lisa Sion et Merci de votre réponse. Je n’ai malheureusement pas le temps de continuer ce dialogue et d’apporter d’autres infos, quantitatives et qualitatives en face de vos propos. La « »« désinformation officielle »« » est, aujourd’hui, un mythe dinosauresque que l’on peut faire éclater comme la bulle internet des années 80. La variété des opinions exprimées, (tous médias confondus), en constitue une des preuves. Qu’il y ait parfois des volontés plus ou moins avérées de manipuler, ou d’orienter la présentation des faits, = oui, bien sûr, elle fait partie du jeu, pour toutes les parties jouant en politique, et pour l’heure, en France, le « »« faire croire »" prend parfois le visage de la pensée unique quand on lit ou entend les propos des opposants.
Si à la question : fallait-il chasser du Koweït le Saddam de 90, je réponds oui, ce ne serait-ce que par rapport aux équilibres géopolitiques de la région, et des conséquences encore plus déstabilisantes qui pouvaient s’en suivre. Juger d’une politique internationale est toujours un exercice, (esprit de finesse confrontée à la brutalité des faits, où la carte dont on parle n’est pas le territoire où se joue l’histoire), fragile à entreprendre. Mais on oublie souvent ce théorème écrit à Londres, sur le portail d’un bâtiment officiel que je ne nomme pas à dessein, et applicable à tous les pays. En français cela donne : « »« le royaume Uni, (UK), n’a ni amitié ni inimitié éternelle, seuls ses intérêts sont immuables. »" Tout est dit pour tous les pays et tous leurs gouvernements. Cela explique beaucoup les lâchetés que l’on peut observer sur le passé, pour ne pas avoir compris à temps la vraie direction de nos intérêts. 1991 Koweït m’apparaît être une meilleure réponse que 1938 Munich. Cordialement à vous, et encouragement à écrire des textes avec lesquels je ne serais pas d’accord... Namaste. DACH