Le problème que je soulève concerne les enfants roi, ceux qui n’ont fait aucun apprentissage du « NON » à la maison. Ces enfants sont de plus en plus nombreux.
Ça n’a donc rien à voir avec l’école, ou vous vous répandez partout à la fustiger : moquant ses « projets pédagogiques » par exemple ces derniers temps : non , vous vous moquez bien du monde ! Derrière vos « analyses » fumeuses, il y a bien une idéologie. Celle du retour en arrière. Réac, c’est bien le mot qui vous caractérise le mieux : vous ne comprenez rien aux aspirations de la jeunesse et confondez tout. Par simplicité, par fainéantise de l’esprit en fait. C’est plus difficile d’imaginer un avenir que d’écrie mille fois comme vous pouvez le faire que c’était mieux avant mai 68 : car c’est à l’évidence votre bête noire. Vous êtes comme Guaino : nostalgique de quelque chose de flou, qui ne peut en rien expliquer le monde contemporain. Tous vos textes en sont imprégnés. D« une idéologie fort douteuse. Celle qui prône des »mecs« et non des homos, celle qui revient sur la contrainte nécessaire, celle qui fustige le plaisir. Car de tous vos textes il ressort une idée phare : selon vous ce n’est pas bien d’apprendre dans le plaisir. Or vous vous trompez lourdement : on ne retient que ce qui nous a fait plaisir : une éducation de contrainte ne fabrique que des robots sans libre arbitre. Mais ça me semble normal chez vous, tant derrière votre mitraillage perpétuel des idées de mai 68 se cache la notion d’ordre obligatoire au bonheur des peuples selon vous. Vous appliquez à l’éducation les principes d’Huttington. Vous vous répandez en »choc des éducations". Ce en quoi vous avez largement tort. Votre propos est avant tout celui d’un nostalgique. Et c’est bien en quoi il est DANGEREUX.