Merci de votre contribution.
j’ai lu avec intérêt votre approche neuro-biologique, cependant je regrette que vous ne soyez pas entré dans la problèmatique. Je vous rappelle qu’il s’agit du traitement du NON ( la limite) par l’enfant à la maison et plus tard à l’école...
Parmis les techniques de manipulation, il y a celle de la présentation scientifique...
Cela peut être une tentation irrésistible (impossibilité de dire NON) quand on dispose de beaucoup de connaissance, et que l’on a de fortes convictions politiques.
Je vous rassure ce n’est pas mon cas, j’aime trop la réflexion et l’étude pour cela. (Ce qui m’étonne, c’est l’absence de raisonnance de mes coups de butoir sur la consommation.
et la société de consommation son corollaire. Elle doit bien avoir ses tabous elle aussi ? c’est à dire les sujets que l’on ne peut aborder...)
Cependant pour revenir au débat, c’est vrai qu’étudier doit être un plaisir. La frigidité dans ce domaine n’est jamais bon signe...
L’onanisme peut même dans ce cas, faire partie d’un cercle vertueux ( et ne pas rendre forcément sourd...), car il est vrai, aussi, que l’on ne peut pas, tout le temps, suivre ses guides, aussi brillants soient-ils, et que la pédagogie de groupe présente, aussi, très vite ses limites...
Encore faut-il pour cela avoir appris à dire NON, et ne pas être réduit à la seule expression du chahut, pour exprimer son désaccord.
C’est là que le problème commence... Le NON fait peur !
Mais pourquoi donc ?
La résistence sous l’occupation n’a-t-elle pas été un NON COURAGEUX ?