" Il est vrai que les islamistes ont fait l’immense erreur de
commettre l’attentat le plus lâche de l’Histoire, un certain 11
Septembre. Une immense erreur qu’ils regrettent apparemment
aujourd’hui, non pour se faire pardonner leur crime, mais pour se
lamenter de ses conséquences fâcheuses pour leur cause criminelle. « J’ai peine à croire qu’un petit peuple tribal, réfugié dans les vallées les plus profondes des contreforts du plus grand massif montagneux du monde, habitant un zone où personne ne souhaiterait prendre leur place, puisse à lui seul mettre en péril la plus grande » démocratie " du monde occidental. Bon, certes, leurs méthodes de fusiller une femme accusée d’adultère sur un stade à l’heure de la mi temps devant les milliers de spectateurs d’un match est une pratique difficilement acceptable de nos jours, mais il y a peu encore chez nous, nous allumions le bucher de la même manière et donc, devrions admettre qu’il y a quelquechose de commun dans notre sang et juste une question de retard entre deux époques. Mais, les images que l’on a pu voir sortir des sévices commis au sein du camps de Guantanamo sont tout autant digne de la pire époque alors qu’elles ne relèvent que d’une basse rancune du même moule. Ceci sous entend ainsi de façon formelle que tout accusateur qui juge, puis perpétue les mêmes méthodes que celles praiquées par ceux qu’ils accusent, est doublement fautif ce qui est bien plus grave et qui repousse encore deux fois plus loin le seuil des vengeances à venir. Et c’est sans fin.