Après plus d’une centaine d’intervention, une synthèse clarifiera les choses.
Nous avons tout d’abord l’auteur qui émet une hypothèse : "Les
islamophobes seraient plus racistes que les islamophiles." Cette
hypothèse péremptoire et erronée est de plus discriminante puisqu’elle
implique que la sympathie pour une religion donnerait une vertu morale.
L’auteur sous prétexte de lutte contre la discrimination, ne fait ni plus ni moins que discriminer les islamophobes.
Dans une seconde phase l’auteur émet une seconde hypothèse : "Les
christianophobes ne seraient pas plus racistes que les
christianophiles." Cette hypothèse correcte n’est pas discriminante.
Mais ajoutée à la première hypothèse de l’auteur elle en aggrave la
portée puisque elle implique que la sympathie pour une seule religion :
l’islam donnerait une vertu morale.
L’auteur sous prétexte de lutte contre la discrimination, inculpe
l’adversaire d’une religion que si celle-ci est l’islam et innocente
tout adversaire d’une religion sauf si celle-ci est l’islam.
Viennent les débats, le camp islamophile n’hésite pas à traiter un
intervenant noir de bounty « noir au dehors blanc au dedans », cette
expression raciste ne suscite aucune réaction de l’auteur !
Le camp islamophile traite aussi un intervenant d’évangéliste, cette
expression discriminate ne suscite aucune réaction de l’auteur.
Un islamophile héle un intervenant : "Sinon petit sioniste, pourquoi tu
passes sous silence l’implication des juifs dans la traite négrière ?
Par solidarité éthnique ?", , cette expression raciste ne suscite
aucune réaction de l’auteur !
Voilà qui est clair, être traité de « sale blanc » ou de « sale chrétien »
ou de « sale juif », ne suscite aucune réaction de l’auteur.
Nous avons là une démonstration parfaite du double langage pratiqué par
l’auteur, si il prétend en théorie lutter contre toute discrimination,
il ne fait en pratique que de la publicité pour l’islam.