bonjour à tous et à toutes,
je suis une « ancienne » de ce forum, mais je vois avec tristesse que certaines mentalités n’ont pas bougé d’un pouce. Mme Starozinski me reconnaîtra. A tous ceux qui n’ont rien compris un petit rappel des faits, mais avant je suis ravie que Mr Sarkozy ait fait un gros effort au niveau de la protection animale, je lui avais écrit comme d’autres, et apparemment la pression a payé. Donc un petit rappel des faits sur le déroulement de la corrida, lisez-bien ceci monsieur ou Madame bali-balo, et puis ensuite vous pourrez choisir le chapitre qui vous plait le mieux dans le déroulement de ce massacre, à vos lunettes :
la corrida se déroule en 3 actes :
LA PIQUE : monté sur un cheval protégé par un caparaçon, le
PICADOR enfonce la pique pour blesser le taureau souvent très profondément, malgé la barre d’arrêt de la pique. La blessure atteint parfois les neerfs rachidiens à leur sortie des vertèbres.
TIERCIO 2 - les banderilles
six bandérilles sont plantées deux par deux. Enfoncées de plusieurs centimètres, elles bougent à chaque mouvement du taureau. Excité par les passes des capes, le taureau blessé effectue des charges qui le fatiguent, le font souffrir et saigner abondamment.
TIERCO 3. la mise à mort
le matador (tuer) attire le taureau avec la MULETA tissu rouge fixé sur une tige de bois. Il lui fait baisser la tête poour pouvoir enfoncer une épée dans la cage thoracique couper un gros vaisseau près du coeur et provoquer une hémorragie interne. Il dispose de trois épées
Si les épées ne suffisent pas pour faire tomber le taureau, le matador plante la pointe du DESCABELLO dans la nuque, parfois à coups répétés Au sol le taureau est achevé avec la PUNTILLA. Le puntillero plonge son arme juste derrière le crâne, pouor atteindre le bulbe rachidien, souvent en multipliant les coups (jusqu’à une trentaine le 18.10.1998 à Béziers) en fait, la puntilla n’atteint souvent que la moelle épinière, le taureau n’est que paralysé et n’est pas toujours mort lorsqu’on lui coupe
les oreilles ete la queue, trophées parfois accordés au matador.
Lors du tierco 1, il faut dire que le taureau est attiré par des mouvements de cape. Il charge l’étoffe qui serre de leurre en protégeant l’homme. Ces passes de cape peremettent de juger l’animal son caractère, sa vitesse, sa force et ses faiblesses. Elles ont aussi pour but de l’essouffler et de fatiguer sa musculature dorsale.
et que l’on ne vienne surtout pas me dire que la corrida est un beau spectacle. Ce n’est que souffrance, l’homme n’en sort pas grandi. Comme dit F Cabrel « je ne savais pas que l’on pouvait se réjouir autant autour d’une tombe » les femmes des toréros peuvent dormir sur leur deux oreilles.
a méditer
bonne soirée
d