« Le maréchal était plutot de centre-gauche » laissez-moi rire !! c’est trop gros là !!! bientôt vous allez en faire un communiste ! c’est GROTESQUE comme affirmation, il était bien de DROITE.
vous faite partie de ceux qui commémorent Pétain et qu« on croise ici
http://www.visa-isa.org/node/375
votre passage ici est digne d’un Lyautey ou d’un Bugeaud :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/colonialisme-pillage-et-exotisme-63991#forum2285979
Le maréchal a fait don de sa personne à l’histoire, il l’a bien dit : »c’est moi seul que l’histoire jugera« .
Mais sarkozy aussi dans un de ces discours pré-électoraux !!
»Pour finir, Nicolas Sarkozy présente « l’exercice du pouvoir comme un don de soi » . Le penser, pourquoi pas, mais le dire... La dernière personne a avoir dit « Je fais à la France le don de ma personne » est le Maréchal Pétain le 17 juin 1940 !«
Mais la plus belle expression de ces noces entre Pétain et la France, ce sont ses voyages. Dans « Les fêtes du Maréchal » (éd. Tallandier), l’historien Rémi Dalisson en a répertorié 86, dûment orchestrés et filmés. Le Maréchal est partout, suivi comme son ombre par Ménétrel. Reprenant une tradition royale, Pétain, qui accorde aussi des audiences chaque jeudi, laboure son territoire, de Lourdes au Puy en passant par Saint-Léonard-de-Noblat (Léonard, saint patron des prisonniers de guerre). A Arles, le chef des gardians lui offre le licol qui attache les chevaux. A Limoges, un commerçant a reconstitué un âtre avec un coq : « Grâce à lui, nous retrouverons notre poule au pot. » Mais la plus belle fête a lieu à Marseille, le 3 décembre 1940. « Etait-ce Marseille ou Nuremberg ? » s’interroge Marc Ferro dans sa biographie de Pétain (éditions Hachette Pluriel). Quand passe l’homme vénéré, une femme s’écrie : « Pourvu qu’il ne prenne pas froid, nous n’avons que lui. » La ville a été nettoyée. Une libraire, qui avait placé dans sa vitrine des portraits de Pétain et de Laval à côté d’une pile des « Misérables » de Victor Hugo, est envoyée en prison. Le Maréchal visite la foire aux santons et reçoit le serment de la Légion française des combattants, clou incontournable de ses visites. 20 000 légionnaires sont présents. « C’est un groupe d’hommes de confiance que vous avez dans chaque village », assure à Pétain Xavier Vallat, le chef de la Légion. Forte de 1 million de membres, elle est l’oeil et la bouche du Maréchal.
ps : je vous rappelle que ce texte a été proposé ici AVANT l’élection, et qu’il a été ... refusé. Trop tendancieux.... à l’époque ?
au fait il a dit ça aussi :
»J’ai changé quand j’ai visité le mémorial de Yad Vashem dédié aux victimes de la Shoah. J’ai changé quand j’ai lu à Tibhirine le testament bouleversant de frère Christian, enlevé puis égorgé par des fanatiques avec six autres moines de son monastère."
or, à la place où il était, il devait savoir qu’à Tibhirine ça ne s’était pas passé comme ça !