Capitalisme... Fascisme... Ou alors une troisième voie, basée sur des astuces auxquelles on n’a pas encore pensé.
Comme ?
Prendre en compte la volonté des peuples (déclenchement des guerres, production d’armes, tout çà), aisément identifiable maintenant (grâce à l’internet) d’un point de vue statistique.
Empêcher toute structure politico-administrativo-économique de travailler contre ses administrés, en leur demandant la publication de toute information significative (pas de langue de bois) laquelle pourra être ainsi librement commentée et évaluée.
Taxer les objets fragiles, inutiles et polluants, détaxer les autres.
Organiser les instances décisionnaires non pas sur des hommes ou femmes mais sur des groupes de réflexion, dont la constitution évolue selon les résultats.
Orienter les politiques socio-écolo-économiques strictement selon les hypothèses scientifiquement admises et selon les résultats concrets obtenus.
Ce ne sont que des exemples qui restent à développer mais qui montrent qu’on n’a pas tout essayé et que peut-être les solutions existent. Evidemment le problème principal restera longtemps la population de bigorneaux friqués qui ne souhaitent pas sortir la situation dantesque à laquelle elle participe. Tant que la première d’entre elles, le complexe militaro-industriel américain, n’est pas mis hors d’état de nuire, peu de choses changeront globalement.
Mais ce sont de petites idées (encore à trouver) qui deviendront grandes et qui libéreront peut-être l’humanité.