Les juifs doivent être infiniment reconnaissant au Maréchal Pétain d’avoir réussi, contre vents et marrée, à sauver les 3/4 d’entre eux. Dites-nous Morice, quel pourcentage s’en sont sortis en Hollande par exemple.
Il y a une vague négationniste qui essaye comme d’habitude de falsifier l’histoire et qui prend le Maréchal comme bouc émissaire en oubliant Laval, le parti socialiste et l’ensemble de la classe politique de l’époque. D’ailleurs, quand on voit les épithètes utilisés on sait bien qu’on est dans le pamphlet caricatural.
Pétain avait 2 millions de prisonniers de guerre français sur les bras et un pays qui venait de perdre la guerre. On peut ironiser à n’en plus finir sur les symboles et la phraséologie utilisée mais la collaboration a été perçue comme une voie raisonnable bien que pas forcément trés honorable par une grande majorité de français et de politiciens français. Il a réussi à redonner courage à un peuple à l’abandon. Sans lui et son administration qui est devenue une usine à faux papiers, jamais la résistance n’aurait pu se développer comme elle l’a fait.
Le problème est que les auteurs juifs ne s’intéressent bien entendu qu’à leur petit nombril et se fichent complètement du sort des deux millions de prisionniers français. C’est la seule raison pour laquelle nous payons aujourd’hui presque 900 millions d’euros par an au lobby juif sous diverses formes et quasiment rien aux arrières petits-fils des victimes françaises (non juives) de cette guerre. Combien de familles françaises (non juives) n’ont -elle pas un parent mort dans les camps. Les députés se moquent de leur sort car il n’est pas porteur médiatiquement comme peut l’être celui des juifs.
Le journal Le Point du 1/10/2009 présente un article sur Pétain dont il fait sa page de couverture. On y apprend que la Francisque, une jolie décoration (Van Cleef et Arpels) réservée pour récompenser les personnes méritantes a été donnée à - François Mitterand fonctionnaire du Commissariat aux prisonniers, Antoine Pinay (ministre des finances sous de Gaulle), Couve de Murville (ministre des affaires étrangères sous de Gaulle), Edmond Giscard d’Estaing (le père du président), les frères Lumière, Charles Vanel, Paul Morand, Pierre Frenay. A cette date-là elle était devenue la décoration des maréchalistes hostiles à Laval.