Ta définition de l’ultra-libéralisme est fantaisiste. Cette étiquette désigne le libéralisme extrémiste, cela ne désigne pas un capitalisme obscène. Ta définition révèle un jugement de valeur qui n’a pas de place en science politique.
Jette un coup d’oeil sur wikipédia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ultralibéralisme
On peut voir qu’il y a différentes définitions du mot « ultra-libéralisme » puisque les hommes politiques adorent coller ce quolibet à leurs adversaires. Ce mot a même été utilisé par les monarchistes pour qualifier les partisans de la république libérale du temps du temps de la restauration.
Comme on peut le voir, l’ultra-libéralisme n’a pas sa place en sciences politiques donc on peut rejeter ce mot hors du débat suscité par l’article ci-dessus puisque s’inscrit dans une démarche positive.
Sarkozy ne correspond pas vraiment à l’étiquette d’ultra-libéral puisqu’il prône l’intervention de l’Etat, la preuve est avec le plan de relance. Or un libéral extrémiste est par définition opposé à l’Etat, le marché s’auto-régulant, il faut laisser faire.
Tu manques de rigueur et tu perds facilement tes moyens quand l’on met tes pensées en doute.
Encore une fois, je ne suis pas mégalomane, j’ai pris eratosthène, fondateur de l’école cynique comme pseudo car j’aime bien la philosophie grecque. En quoi est-ce de la mégalomanie ?
Comme on dit, c’est celui-ci qui est. Te croyant au-dessus de moi, tu tombes dans l’insulte et te sens obliger de me rabaisser. La frustration est quelque chose de positive avec laquelle, il faut apprendre à vivre, tu devrais en prendre note.