@Cosmic
Conformément au judaïsme,
le meurtre d’un juif est un crime capital et l’un des trois péchés
abominables avec l’idolâtrie et l’adultère. Mais tout change
lorsque la victime est un goy. Le juif qui tue un goy se rend coupable
d’un péché contre « La Loi divine » uniquement,
non punissable par un tribunal. Le juif qui cause indirectement la mort
d’un goy ne se rend coupable d’aucun péché. (En Israël,
l’objection de conscience est interdite).
D’après la juridiction juive,
un goy meurtrier doit être exécuté, que la victime
soit juive ou non. Cependant, si la victime est un goy et le meurtrier
juif ou converti au judaïsme, ce dernier n’est pas puni. En 1973,
révèle Shahak, le Commandement de la Région centrale
de l’armée israélienne distribue aux soldats une brochure
qui mentionne : « Lorsque nos forces rencontrent des civils en temps
de guerre ou lors d’une poursuite ou d’un raid, tant qu’il n’y a aucune
certitude que ces civils sont dans l’impossibilité de nuire à
nos troupes, alors, conformément à la Halakha, ils peuvent
et doivent être tués. En aucun cas on ne peut se fier
à un Arabe, même s’il donne l’impression d’être civilisé.
En temps de guerre, nos troupes donnant l’assaut sont non seulement autorisées
mais tenues par la Halakha de tuer même les civils paisibles, c’est-à-dire
les civils paisibles en apparence ».
La brochure a été
retirée depuis mais il n’empêche que ceux qui la mettent en
pratique ne sont jamais punis. Dans tous les cas où les juifs ont
assassiné des Arabes non-combattants dans un contexte militaire
ou paramilitaire, comme celui de Kafr Qasim en 1956, un massacre en masse,
les meurtriers ont été libérés immédiatement
ou ont reçu des peines extrêmement légères ou
encore ont bénéficié de remises de peine qui ont réduit
leur condamnation à presque rien. Shmu’el Lahis, responsable du
massacre de cinquante ou soixante-quinze paysans arabes emprisonnés
dans une mosquée après l’occupation de leur village par l’armée
israélienne pendant la guerre de 1948-49, a bénéficié
d’une amnistie complète grâce à l’intercession de Ben-Gourion.
Le personnage devint un juriste réputé et, en 1970, fut nommé
directeur général de l’Agence juive (Bureau exécutif
du mouvement sioniste). En 1978, les faits concernant son passé
ont été discutés dans la presse israélienne,
mais aucune autorité rabbinique n’a contesté son amnistie
ni l’opportunité de sa nomination.
http://library.flawlesslogic.com/shahak_fr.htm
Israel SHAHAK Histoire juive/religion juive
http://www.codeig.net/SHAHrelig.pdf