Heuuu, excusez moé d’être ce que je suis, c’est-à-dire, un gentil Monsieur un peu concon sur les bords et grand ignare en théorie de l’information. A vous lire, je comprends que vous tentez de m’influencer en me laissant croire que vous êtes un référent in-con- tournable en la matière. Effectivement, vue et présentée sous l’angle des influences interactives, ma question ne pouvait se poser, sauf à recevoir en retour un joli camouflet bien claqué au coin de la figure. Néanmoins, la chose est discutable car lorsque je consulte mon dictionnaire encyclopédique, je considère alors les réponses qu’il m’apporte comme étant une information donnée (orthographe, graphie phonétique) susceptible de nourrir ma réflexion (exemples, contextes, sens, origines, ...). Le rôle du dictionnaire se cantonne en ce qui me concerne à sa tâche essentielle qui est celle de formuler des réponses que je peux parfois contester lorsque le caractère politique de ladite réponse l’emporte quant à la définition diffusée. Je réfute la théorie selon laquelle tout influence tout et qu’un simple bonjour ou salam ou shalom ou good morning de politesse conventionnelle puisse exercer sur moé une influence quelconque. Certes, on peut y trouver toujours une influence minimaliste, mais étant exceptionnel par nature (j’anticipe et ma réactivité fulgurante me protège tel un bouclier naturel, surtout quand je formule sans le prononcer le mot magique « PROTEGO »). Zut, mes chevilles enflent et le sol est soudainement jonché de belles fleurs de toutes les couleurs. Mais que se passe-t-il donc !!! Ah oui, je commence à déteindre sur vous !!! Et à votre contact, j’ai le sentiment douloureux de subir l’influence de votre hyper EGO. CQFD (la loi d’influence, vu et corrigé par vos soins). Avez vous le don de double vue ??? Monsieur Villach.
A propos de l’exemple du prix désinteressé de la baguette de pain, il s’agissait d’une information donnée à partir de laquelle la personne qui la reçoit lui opère un traitement analytique personnalisé. L’émetteur ne cherchant pas à l’influencer, et ce, dans aucune manière, alors que le récepteur peut en fonction de ses desiderata lui attribuer les vices ou vertus qu’elle veut, même au prix scélérat d’une extrapolation hyperbolique.
Cordialement. Lord Volde.