Commentaire de Daniel Roux
sur Journalistes en danger et complices de Sarkozy
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Après la 2ème guerre mondiale et la neutralisation de la bourgeoisie collaboratrice (lire toute la bourgeoisie n’était pas collabo), il était interdit aux groupes industriels et financiers de posséder une part de blocage dans les groupes de presse.
Cette loi a été abolie par Mitterand sous prétexte de sauver « Le Matin », journal de gôche. Cela n’a pas sauvé le titre mais à condamné à terme la liberté des autres.
Remarquons que les rares titres encore indépendants, comme le Canard Enchaîné et le Monde Diplomatique, n’ont pas tant de lecteurs que ça. Les coûts financiers du contrôle politique et ceux entraînés par le volume au dépends de la qualité sur le thème « donnons leur pour leur argent », ne sont-ils pas parmi les causes du problème ?
Derniers commentaires
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12/11 12:12 - RebelBird
Je crois que les révolutions dites communistes ont fait trembler les instances dirigeantes et (...)
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09/11 13:31 - Jean Lerroux
Beaucoup d’erreurs dans votre « petite leçon ». La « campagne virulente » (pas du (...)
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09/11 09:49 - Zertiop
L’idée d’un conseil de l’Ordre est en effet dans l’air du temps. (...)
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08/11 23:35 - therasse
Sarkozy ne sera pas toujours au pouvoir. Et dès lors, il est à espérer que des gens, (...)
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08/11 19:57 - Imhotep
Puisque vous prenez la peine de faire ici un comme,taire je voudrais apporter quelques (...)
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08/11 19:38 - Zertiop
En tant que journaliste, je partage votre réaction indignée, mais je lui trouve deux défauts. (...)
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