Voici un exemple type de la diversion et la non argumentation systématique de l’islamophile moyen.
S’adressant à un premier contradicteur, la diversion employée est de :
- Souligner subrepticement les origines juives de Sarkozy, comme si cela était une tare en soit.
- Transférer son propre racisme de ses propres mots sur le contradicteur qui n’a pourtant jamais dit cela.
- Enfoncer le clou en évoquant le soldat juif Gilad Shalit.
- Prétendre qu’une loi contre la double-nationalité ne passerait pas en sucitant à mi-voix le lobby juif qui s’y opposerait.
- Ouvrir ainsi directement la voie vers le puissant lobby juif qui cotrôlerait en sous main la France.
S’adressant à un second contradicteur, la diversion employée est de :
- Souligner le prétendu fascisme de son contradicteur qui voudrait interdire toute religion.
- Détournant la question des islamistes qui eux occupent des pans de territoire les interdisant à toute autre confession.
- Détournant la question des islamistes qui barrent des rues entières en empêchant même les citoyens de rentrer dans leur propre logis.
- Détournant la question des islamistes qui ne se marient qu’entre eux et marquent même leurs femmes d’une burqa pour souligner la chasse gardée.
- Transférant les violences et intolérances des islamistes sur le contradicteur qui s’oppose à ce fascisme.
- Finissant par une menace à peine voilée du surnombre de ces islamistes qui causerait leur victoire finale.
Pour finir soulignons que le débat porte à l’origine sur un musuman qui au cri de Allah Wakbar crible ses collègue de balles dans une tuerie ignoble.
Donc quel que soit le sujet du débat pour décrypter la méthodologie du discours islamophiles il convient d’en débusquer les deux duperies fondamentales :
- Détourner les problèmes pratiques que posent les musulmans sur ceux théoriques que poseraient les juifs.
- Se hâter de reprocher son propre racisme et fascisme au contradicteur.