Les faits, brut, sans storytelleing, les voilà :
le 11/09/01, trois ou quatre avions de ligne ont été détournés. Trois immeubles de Manhattan se sont écroulés comme châteaux de cartes à la vitesse de la chute libre, deux après avoir été percutés par deux des avions de ligne détournés, respectivement après 20 mn et 1 heure (en gros, de mémoire) d’incendie et un troisième qui n’a pa été percuté, après quelques heures d’incendie.
Par ailleurs, un troisième avion détourné a été abattu au dessus de Shanksville une heure après son décollage.
Enfin un avion de ligne qui serait identifié comme le vol AA77 déclaré lui aussi détourné une heure plus tôt, aurait été vu à très basse altitude au dessus des parages du Pentagone, exactement au moment ou le bâtiment a été la cible d’une attaque non identifiée qui a détruit l’une de ses façades.
A noter que la chasse américaine n’est à aucun moment intervenue, sauf pour abattre l’avion de Shanksville, apparemment égaré et dont on ignore par le fait quelle était la cible prévue par les auteurs du détournement.
3000 à 4000 personnes sont mortes ce jour là dans les fournaises, et dans les jours, les mois et les années qui ont suivivi, des milliers de personnes sont décédées ou sont handicapées à vie à cause de s’être trouvées trop près de cet enfer. Des blessés et des familles de défunts attendent toujours un quelconque dédommagement qui ne vient pas, les autorités se renvoyant la balle.
La VO est invalidée par presque la totalité des gens encore libres et indépendants du monde entier, et malgré cela cette VO est soutenue becs et ongles par ceux qui y trouvent un intérêt politique, financier ou simplement pénal, ainsi que par quelques irréductibles idiots qui se font de ce fait complices de ce qui risque bien d’être le plus grand crime et la plus grande erreur judiciaire de tous les temps.
Ne me demandez pas où sont les passagers du vol AA77 « présumé disparu » sous les décombres du Pentagone, dites moi plutôt où étaient les 40 000 personnes qui devaient être dans les tours ce matin là, et qui n’y étaient pas.