Depuis quelques temps, je trouve l’atmosphère en France assez dépressive, assez morose. Il me semble qu’à Berlin, elle est plus exaltante« , a-t-elle simplement expliqué. Quant au lien direct entre son départ de France et l’élection de Nicolas Sarkozy ? »Je ne crois jamais qu’un seul homme puisse faire un pays", a répondu l’écrivaine.
Marie Ndiaye a pour sa part vanté « l’effervescence artistique » de Berlin, qui représente « ce qu’était sans doute New York dans les années 70 ». Elle a expliqué qu’elle envisagerait de quitter la ville un jour. « Quand j’aurai le sentiment que Berlin n’aura plus rien à m’apporter en tant qu’écrivain », a-t-elle expliqué.
Marie Ndiaye a au passage rejeté le titre d’auteur engagé alors que son dernier roman retrace la trajectoire de trois femmes africaines contraintes de s’exiler. « Il me semble que les auteurs engagés, dont je ne crois pas être, essaient d’apporter des tentatives de résolution, ce que je me sens incapable de faire. Je voulais simplement qu’on soit émus par le sort de ces femmes », a expliqué
hé hé elle bien tiede votre passoniaria yep maison dans lot lotf berlinois
, un bon ecrivain surement ,
’j en sais foutre rien’ mais elle sait ce menager sa carriere yep pour la revolution c est rapé mon bon julles, dingue ! comme on arrive a se couler dans le costume de « maitre »
comme quoi la couleur n y fait rien un dominant un accaparateur un profiteur un bobo
egoiste de son confort mais poseur et donneur de leçons n a pas de couleur ou alors
celui de l argent yep !