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Commentaire de Monica

sur Plasticité du cerveau et résilience humaine


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Monica Monica 11 novembre 2009 18:18

Bonjour ddacoudre,

Merci de votre commentaire.

Je suis convaincue que le sens prêté par les personnes à leur maladie est un facteur très important dans la résistance contre la maladie, et toutes ses conséquences.

Les personnes doivent pouvoir sapproprier  la maladie dans leur propre univers mental (imaginaire et symbolique), afin de se « familiariser » avec elle, de ne pas la ressentir comme un corps étranger hostile face auquel elles seraient démunies. D’ailleurs, le gliome est un tumeur infiltrante : c’est donc une partie du cerveau, mais qui devient peu à peu silencieuse sous l’effet du dérèglement du tissu.

Le patient doit faire un travail de tissage imaginaire et symbolique pour vivre avec, et malgré, la maladie.... de la même façon que l’a fait son cerveau en utilisant ses connexions internes pour pallier les déficits potentiels engendrés par l’invasion tumorale.


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