Bonjour,
Je trouve que les thèmes abordés par cet article méritaient mieux que les commentaires que je découvre.
C’est vrai, Attali, est une personnalité pleine d’une dualité qui dérange, c’est vrai qu’il donne l’impression de « surfer » sur les idées à la mode, c’est vrai qu’il s’est voulu le « chantre d’un régime », c’est vrai qu’il mêle parfois allègrement les faits historiques pour refaire le monde, c’est vrai qu’il n’est pas toujours clair et transparent ds ses prises de position, et sa communication, je dirais sa médiatisation.
Pour autant, faut-il, faire un sort au contenu des idées reprises ds son livre —que je n’ai pas lu — pas sûr.
Le danger qui menace ce type de réflexion c’est l’enfermement ds ’la tour d’ivoire’, cela est vrai aussi.
Le gouvernement mondial et les comportements socio-économiques qui en découleraient sont soit des utopies ou la « solution panacée » pour faire face au changement et la mondialisation ou encore tous les « hypers » qui nous sont promis pour l’avenir.
Cette thématique, nous la retrouvons aussi ds l’idéologie des sectes nord-américaines, je veux dire ainsi, qu’il est bien de se méfier des ’travaux publics inutiles’ ou qui servent d’autres espoirs qu’un humanisme réel.
Maintenant, faisons le distingo entre l’homme Attali et les propositions faites ds son livre...voyons les idées et essayons de nous demander :« Cela est-il possible, hors une proposition intellectuelle alors que le présent est bien là »(Nous avons déjà bien du mal à inscrire notre présent ds la minute qui est).
Il est en effet possible que notre avenir et notre survie exigera une plus grande concertation mondiale. Je pense particuliérement au changement climatique déjà bien inscrit ds la réalité terrestre et qui nécessitera une action internationale de gestion du phénomène.
Bien, si j’ai le temps je lirai le livre....