Ben oui... entre le bilan énergétique nul des bio-carburants qui suffiront pas, l’air comprimé qu’il faut bien comprimer (avec de l’énergie éolienne encore bien chère, de la géothermie dont on se demande ce qu’est le bilan à en juger par le peu de ville qui se chauffe avec), le charbon qu’est pire que le pétrole, le photovoltaïque dont la fabrication a bouffé une bonne part de l’énergie qu’il restituera sa vie durant, etc, etc... le seul truc dont on connaît bien prix de revient et bilan carbone, qui tient encore la route, c’est quoi ? Ben... le nucléaire pardine ! D’autant que même mines épuisées y en a assez dans l’eau de mer et puis comme on le recycle de plus en plus... Certes faut pas qu’ça pète. Surtout dans un pays aussi peuplé que le nôtre. Mais la sécurité s’améliore sans cesse. On peut même espérer, si la techno des lits de boulets tient ses promesses, que ça devienne plus sûr que tout. Ah si y a une autre piste que tout le monde oublie toujours, bien qu’elle représente le plus faramineux gisement d’énergie : celle des économies. A commencer par celles qu’offre le web, et les webcam pour limiter les déplacements en satisfaisant ses besoins d’échanges de stimuli intra spécifiques en se rendant pedibus jambus au bistrot du coin. Je peux y dire les mêmes conneries qu’ici, et en plus avoir le bonheur d’entendre en direct live le rire gras de ce salaud, d’enfoiré, de connard d’enfant de salaud doublé de fils de pute... qui a bien raison de me chambrer pour les avoir proférées. L’est pas belle la vie !