dans nos sociétes , il y a de curieuses choses :
la culture de la mort
la culture de l’argent
la culture de la performance
mais, il y a toujours des pauvres, des gens sur le pavé....
nous avons eu la démonstration de l’avidité, celle de la crédulité et de la déception et du désordre public initié pas cette activité de marketing.
l’aspect ludique de cette activité de marketing, ce spectacle a pris tout d’un coup, le visage de la haine, elle a provoqué une rixe dont les relents sont ceux du mépris . Mépris des organisateurs donnant une aumône , mépris des déçus soudain confrontés à leur espoirs déçus , c’est la faute a personne mais il fallait cette violence comme exutoire.
ceux qui étaient là n’avaient sans doute pas assez de pognon pour acheter même les objets qu’ils pourraient acquérir normalement avec une réduction. Et quand quelqu’un perçoit cela à son propre égard, il se sent humilié. C’est humain.
Lorsque le consumérisme réduit les gens à des pâles figures tandis que le gentil organisateur avec un sourire ultrabright joue au décontraté comme un animateur d’un jeu télévisé.
C’est cela aussi qui pourrit les rapports sociaux.