Démos = le peuple. Cratos = le pouvoir, la puissance. C’est tout. Qu’elle ait été initiée chez les grecs ou ailleurs dans des petites communautés aujourd’hui oubliées, peu importe.
Ce n’est pas innocemment que j’ai pris l’exemple de la Suisse. C’est pour éviter qu’on me taxe de doux réveur ou d’utopiste. C’est très embêtant pour certains, surtout pour les adhérents des partis politiques, des 600 000 « régimes spéciaux » (principalement à EDF) et pour les moutons enlisés et abrutis par x décennies de « démocratie représentative » ... mais c’est comme ça !!!
Les Suisses se portent bien et bien mieux que les Français, merci. Les banques ? IL y en a partout. L’or des juifs ? Je réponds Zaharoff (voir wikipédia). Bref, ce qui fait de la Suisse un petit pays puissant, tranquille et bien géré (globalement car tout est toujours perfectible) ce n’est pas uniquement le chocolat, l’horlogerie et les vaches peintes en mauves. C’est aussi, un petit peu je pense, leur système politique de démocratie semi-directe (d’autres l’appelle directe).
Bill, renseignes-toi toi-même, sorts un peu de tes frontières mentales, et pendant ce temps je t’embarrasse bien fort (celle-là je voulais la faire). Enfin, j’essaie.
J’oubliais : je voterai pour celui qui s’engagera à faire rentrer dans la Constitution Française le droit - sans conditions - des Réféndums d’Initiatives Populaires (pétitions à valeurs décisionnelles, votes blanc inclus). Pour le moment seul le petit candidat Alain Mourguy et son UDG (union droite gauche, c’est cela la démocratie directe) les propose clairement. C’est même la clef de voûte de son programme.