@toto
Trop facile, l’imposture consiste sous couvert scientifique à dénoncer ce que l’on ne maîtrise pas ou se qui sort visiblement du domaine de compétence de la « science moderne » pour mieux laisser passer l’armada-guedon de ces panzers divisions que sont les laboratoires de « recherche » de la planète et les milliards de subsides qui y sont accrochés(Cf. Les proportions des labos homéopathiques avec les autres, et d’ailleurs les labos homéo. se ne sont pas des labos puisqu’ils appliquent les règles définies il y a plus de cent ans). La mémoire de l’eau a été une tentative avortée de convaincre indirectement le monde scientiste des bienfondées du principe de l’homéopathie, las, il ne faut pas, dans ce cas, utiliser les armes de son adversaire, il est toujours temporairement gagnant étant donné que deux niveaux qualitatifs ont du mal à communiquer et comme le plus bas règne de nos jours, c’est peine perdue. Encore une fois, vous tombez dans le piège béant des protocoles dit scientifiques qui ne prouvent que ce qu’ils veulent prouver, ce qui vous échappe, et vous n’êtes pas le seul, c’est que le traitement homéopathique est fait en fonction du malade, c’est à dire que les mêmes symptômes ne donneront pas lieux aux mêmes traitements contrairement à l’allopathie qui considère ses patients comme une batterie d’élevage à soigner. Le médecin et son diagnostique est lui aussi à prendre en compte, car la notion de « terrain » demande de l’expérience et un certain « feeling ». Donc tous les protocoles, fussent-ils plus subtils les uns que les autres ne réussiront pas à prouver quoi que ce soit (dans les 2 sens d’ailleurs). Le niveau auquel opère l’homéopathie est incompatible avec la faiblesse d’esprit et de compréhension de la science moderne qui rabaisse tout au tangible et mesurable et dont on connaît maintenant toute la fragilité au travers la M.Q. Alors je sais, pour ces blouses blanches conditionnées, l’homéopathie n’existera jamais pour la plus grande secte du monde, celle veut nous faire croire que nous ne sommes que ce que nous mesurons.