Bien vu mimusops !
Cependant de la stratégie je me demande s’il ne s’agit pas plutôt de stratégie de référencement consistant à faire remonter le rakolacanthe des profondeurs du web 
Pas moins de 39 liens vers le site de l’auteur en utilisant le terme générique « individu » ?
Une explication ?
Il est vrai que lorqu’on cherche « coelacanthe darwin » sur google, on trouve Le journal Chrétien en première place.
Concernant la bestiole sur wikipedia : ici et là
On ne parle plus de fossile vivant mais « d’espèce panchronique ». On y apprend notemment que « si l’aspect externe d’une patte de cœlacanthe a été peu modifié depuis le Dévonien, son anatomie a subi des remaniements substantiels. On peut aussi supposer que la physiologie et le métabolisme de ces espèces a évolué, hypothèse néanmoins difficilement vérifiable. »
en continuant la lecture
« il est bien exact que certaines espèces disparues, particulièrement celles des fossiles de coelacanthe les plus tardifs, à savoir le genre Macropoma du Crétacé, ressemblent beaucoup aux espèces modernes. L’explication la plus plausible de cette lacune évolutive est la disparition de ce poisson des lagunes. D’autre part, les fossiles des grands fonds marins sont rarement formés dans les strates où les paléontologues peuvent les mettre au jour, ce qui donne l’illusion que ces espèces des grandes profondeurs n’existaient pas autrefois : cette hypothèse est toujours à l’étude. »
L’histoire du coelacanthe