Alors si j’ai bien compris vous êtes le premier à dire que pour les trois prochains hivers, Carlier rhabille Castaldi qu’il n’aime pas beaucoup (un euphémisme) affichant à son égard un certain mépris, voire un mépris certain à en croire l’histoire des bibelots…
Ensuite mystère et boule de ceci cela, Carlier aurait soudaincoup (il n’est pas de moi mais je vais me gêner), décidé de le « couvrir » je vous cite :
« Pas un mot, en effet, sur la conduite indigne de Castaldi que les vidéos, filmées en douce par les élèves et publiées sur le Net »
… Euh… Avez- vous la moindre preuve que Carlier ait eu connaissance des dites vidéos ? S’il en a été question, si quoi que ce soit vous permet de l’affirmer alors pas de soucis. Sinon, en parlant de dissimulation, vous faites bel et bien un procès d’intention avec circonstances aggravantes vu que Carlier n’avait aucune raison de passer à Castaldi le moindre écart.
Connaissant vote subjectivité je vous accorde encore moins un blanc-seing sur voter victime exemplaire, le prof de philosophie. Car mon petit doigt me dit qu’il faut toujours se méfier des apparences et que si Castaldi quoi qu’il vaille ce n’est pas le problème, a réagi aussi violemment devant les élèves, c’est peut être simplement que quelque chose d’assez ... violent l’y aurait contraint.
Alors qu’il ait eu tort sans aucun doute, mais de réagir comme il l’a fait ou de réagir tout court... Non vous ne le dites nulle part non.
Ah oui j’ai aussi aimé ce que vous avez dit à Céphale sur vos …trolls (A se demander pourquoi avec Morice et quelques rares autres, vous en auriez des trolls), Alors cadeau :
Mais vient l’épisode de l’altercation entre PV et un de ses trolls qui s’est permis, au cours de l’entretien avec l’Agora, de dire tout le mal qu’il pensait de ses billets. N’est-ce pas son droit ? Ce n’est pas parce qu’ils plaisent, comme dit Carlier, « à un large public » qu’ils en sont pour autant légitimés. Le leurre de la pression du groupe a beau intimider tout individu, quand il ne parvient pas à le faire adhérer à l’opinion du grand nombre, selon Solomon Asch (1), il ne peut transformer une croûte en tableau de maître.
Ces gens de l’industrie de l’ego et de l’information sur mesure ont un culot monstre. Ils croient pouvoir s’arroger le privilège de livrer de la réalité la représentation qui leur convient