Commentaire de Marc Bruxman
sur Michael Moore, une rage impuissante
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Michael Moore a en tout cas bien compris le capitalisme. Il fait beaucoup d’argent grâce aux droits d’auteurs de ses films.
Et puis bon son trajet jusqu’à Cuba dans Sicko frolait le foutage de geule. Parce que foutez y les pieds à Cuba et vous verrez à quel point c’est le paradis. La pauvreté y est terrifiante comme je n’ai vu dans aucun pays capitaliste même pauvre.
Et il ne faut jamais oublier que c’est autour des pays socialistes que l’on a eu besoin de construire des murs pour ne pas que les gens partent. Et aux US ou l’on est obligé d’en construire pour ne pas que les gens rentrent.
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