@ amipb ou Soldat-moine pris dans le
rêve d’un autre :
« Amusant également
que Mrs Aum et Hengxi fassent la même erreur de réponse
aux commentaires en répondant à l’article même... »
L’erreur est humaine. Je vous prie de
m’excusez si je me trompe parfois de case à cocher :
« Réagir ». Ce qui motive la présente
réponses, tenant compte de vous diverses intrusions dans les
dialogues.
« Aum, je crois que l’on
n’a pas vu le même film. Demandez aux organisateurs de vous
rembourser. »
Toutes les 5 secondes un enfant crève
de faim organisée par ces cosmocrates – cette force
obscurantiste - rappelez vous, la main invisible NATURELLEMENT
régulant le marché - en collusion obscène avec
la politique ou/et cléricales. Je n’appelle pas cela un FILM.
« Hengxi / Aum = Docteur
Jekyll et Mr Hyde ? Le doute s’installe. »
Suspicion. Un de vos jeux favoris dans
l’art de la désinformation, de l’intox et de propagande.
« Il me semble, Mr Aum,
que vous oubliez le côté positif de la colonisation
chinoise du Tibet. Pourtant c’était votre propos dans cet
article fourre-tout. »
« le côté
positif de la colonisation chinoise du Tibet » est, le
propos, de mon article. Je ne vous dis pas bravo. Comment dire, je
vous laisse choisir :
-
Vous ne savez pas lire ;
-
Vous lisez sans préjugé
mais de bonne foi ;
-
Vous lisez avec préjugés
mais de bonne foi ;
-
Vous lisez parfaitement mais de
mauvaise foi ;
Au moins votre collègue « Candide »
a eu l’honnêteté de dire que « Je réagissais
simplement à un aspect de l’article, ce qui est mon droit. »
Mais vous alors !
Sur la scène publique, on
désigne le cas 4 par un nom : malhonnêteté
intellectuelle.
Vous êtes l’exemple type de ces
ilotes qui viennent me renforcer ma conviction :
Il faut bannir de la scène
publique, de cette République laïque, toutes ces
revendications politiques menés par des représentants cléricaux.
Sur le plan privé (entre nous),
sincèrement, je la compassion pour vous.
Namo Amitabha Bouddha, Namo Amitabha
Bouddha, Namo Amitabha Bouddha,...
Et rappelez vous, faut la répéter
mais sans abuser, c’est la qualité des prières qui
prévaut.