Du beau et du bon Villach comme on les aime.
De la redite, de la pub pour ses invendus...
Ensuite un « dégorgement » sur l’administration qu’il exècre - lui-même dirait que ça fait faire des économies à la sécu.
Pas de leurre d’appel sexuel - pas de téton de Béa - ni d’intériconicité mais une information tronquée comme lui-même les adore.
Car il essaie de nous faire croire que les élèves se sont révoltés parce-que le prof les empêchait d’envoyer des SMS pendant les cours - on se demande d’ailleurs quel prof l’autoriserait.
Extrait de Libération - un journaliste qui, lui, va sur le terrain :
Florie, élève de TSTG2 est « choquée par le contenue de la lettre » et avance que c’est « très probablement le fait d’une seule personne ».
Pour Nicolas, première STG, l’argument du portable n’est qu’une excuse, il s’agit surtout « d’un problème de communication entre les élèves et la professeure ». Florie de la TSTG2 le
confirme : « On
nous a lu la lettre, l’utilisation du portable en cours n’est qu’une
remarque parmi d’autres, et d’ailleurs cette phrase est stupide car
nous savons très bien que les téléphones sont interdits en cours. »
Après la passage de l’inspecteur d’académie lundi, les élèves de la
TSTG2 ont écrit une « lettre de désolidarisation » afin de mettre les
choses au clair. Si la quasi totalité de la classe a bien été à
l’initiative d’une pétition pour demander le remplacement de la
professeure d’anglais, car ils n’étaient pas satisfaits de sa « méthode » d’enseignement, une lettre d’insulte n’a
jamais été envisagée.
Villach, avant de donner des leçons de journalisme vérifiez un peu l’information, hein ?